Kigen No Setsuwa
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Daiki Heihachiro 100 %

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Je m'appelle Daiki Heihachiro et je suis un ninja.


Daiki Heihachiro

Membre de Taka




Messages : 26
Date d'inscription : 13/08/2011



Fiche du Shinobi
Ryos: 485


Daiki Heihachiro 100 % Empty
MessageSujet: Daiki Heihachiro 100 %   Daiki Heihachiro 100 % Icon_minitimeSam 13 Aoû - 4:19




« Daiki Heihachiro »







▬ Σ Nom : Heihachiro

▬ Ψ Prénom : Daiki
▬ φ Age : 21 ans
▬ Ω Sexe : M
▬ σ Nindo : La paix est ce possible ?
▬ ℘ Village désiré : Kiri
▬ √Grade souhaité: Le plus haut possible
▬ ∉ Autre/particularité: Que dalle de nada de ruine de pute


Description Physique


La première impression est toujours celle qu'on garde, c'est pourquoi le fait que vous appréciez ce que vous voyez reste important dans votre jugement. Car on a beau dire le contraire, la beauté extérieure est indispensable. Le physique est la seule et unique chose qui fait que vous abordez quelqu'un dans la rue ou ailleurs. Les gens jugent les gens, la nature humaine est faite comme telle, rien n'y changera et personne n'y fera exception...

Je suis Daiki Heihachiro, un jeune adulte qui vient de se rendre compte de son âge. Pour commencer je suis un homme de taille moyenne pratiquement pile au dessus. Un homme mesure dans la moyenne un mètre soixante quinze à un mètre quatre vingt, moi je mesure un mètre quatre vingt trois, un peu plus haut que la moyenne de mes confrères. Pourtant ma morphologie n'est pas très impressionnante, malgré ma hauteur, ma largeur se fait assez mince. D'une carrure assez élancée je ne pèse que quatre vingt kilos. D'une manière générale les gens me dévisagent, non pas pour moi mais par mon physique. Non je n'ai pas de visage ingrat ou quelque chose dans ce style, seulement mon allure élancée et pourtant musclée, tout cela mélangé à mon style et mon jeune âge me place dans la catégorie des délinquants, des reclus, des parias de la société. Bref, c'est une autre histoire, reprenons ma morphologie, globalement je suis quelqu'un d'assez marqué par les bagarres, par les entrainements et par les sentiments. En effet, sur mon corps on peut voir quelques cicatrices, et une musculature formée par l'expérience, les combats perpétuels et les coups échangés. Seulement âgé de vingt et un ans mon histoire fait de moi un guerrier plutôt puissant.

Comme chaque être humain mon corps se composent de deux jambes symétriques. Composées de deux pieds à cinq orteils plutôt fins et longs, tout comme le reste de la jambe. Effectivement, plutôt fines, les muscles des mollets et des cuisses ressortent parfaitement du reste du corps. Les lignes des muscles sont bien dessinées mais peu visible à cause de mes vêtements bien sûr, et de la pilosité masculine. Un peu métisse mes poils noirs ne sont pas gênants et peu visibles. Bref, mes deux bras ne sont pas très différemment constitués que mes jambes. Plutôt longs et développés, ils n'ont rien de spécial, cela reste des bras normaux. Au bout de chacun d'eux, il y a mes mains, je possède tout mes doigts, et mes mains sont assez fines. Joueur de piano et épéiste mes mains sont les éléments de mon corps les plus importantes pour moi et pour les combats. D'une manière globale, et pour chacun d'entre nous, les mains constituent ce qui existe de plus important, c'est avec elles qu'on réconforte, qu'on frappe, qu'on applaudit, qu'on mange, qu'on boit, et certain arrive à se déplacer avec. Pour conclure, mon torse et mes abdominaux sont également assez musclés, mais ce que l'on remarque le plus ce sont les cicatrices et les tatouages, notamment l'énorme plaie refermée parcourant le torse entier en diagonale, pour les tatouages ce sera décrit plus tard..

Pour conclure votre jugement sur mon physique, parlons de mon visage. Mon crâne est ovale, comme la plupart des gens. Enveloppé par mes cheveux bruns, très sombres et courts, mes cheveux sont plutôt ébouriffés et la plupart du temps complètement recouverts par mon bonnet, vestige de mon passé. La seule partie que l'on voit sont les pattes descendant légèrement jusqu'à la moitié de ma mâchoire. Cette dernière plutôt carrée formant un visage dur, plutôt froid, sans grand intérêt. Au bout de mon menton un bouc y est laissé intentionnellement, marquant une maturité et un avancement dans le temps. La pilosité de ce bouc remonte jusqu'à ma lèvre inférieure, légèrement plus charnue que la supérieure, mais de si peu, que c'est impossible de le remarquer. Ma bouche est des plus normale, et n'aborde que très rarement un sourire sincère, les blessures du temps ont sus la fermer, et à respecter le silence, plus en droit que la parole inutile. Mon nez, au milieu de mon visage place l'harmonie de ce dernier, assez fin et long, il aborde une légère pointe au bout. Mes oreilles sont à moitié recouvertes par le même bonnet que précédemment, et le reste est décoré, mais cela nous le verrons plus tard aussi. Le reste de mon visage est assez aplati, laissant des joues douces et lisses rappelant, malgré mes traits physiques strictes, mon jeune âge. Passons à ce qui fait de moi un paria, en plus de mes actes et de mes vêtements, mes yeux. Ou plutôt même mon regard que les gens ont du mal à supporter. En effet, bien que normale dans la forme, la couleur fait la différence. Assez bridée et discrète, la forme n'a rien d'exceptionnelle, mais la couleur violette claire de mes pupilles semblent être mal vue. Cette couleur je ne l'ai pas choisis, elle n'a rien de spéciale, c'est comme si mes yeux étaient ceux de quelqu'un d'autre, mais la vie m'avait doté de la couleur violette. Mélangez cette couleur peu discrète et différente du commun à des cernes en dessous des yeux et le tout donne un regard profond, menaçant et mystérieux. Ce que les gens peuvent être cons avec leurs préjugés..

Mes vêtements, quelque chose que j'aime, quelque chose qui m'a exclu, mais quelque chose qui m'est indispensable. Tout d'abord partons du bas, de mes baskets, plutôt placées dans la catégorie sport, blanche et noire, elles sont plutôt fines et montent jusqu'aux chevilles. A partir de là arrivent un jean, large pour facilité les mouvements, et toujours de couleur foncée. Ce dernier tient à l'aide d'une ceinture en cuir, blanche, où est accrochée, depuis que je suis ninja, des petites pochettes contenant tout l'attirail de survie. Passons au haut, toujours habillé d'un tee shirt à manches courtes, au col large, et plutôt moulant. Toujours de couleur grise, blanche, ou d'autres couleurs ternes et moins sombres que le noir de ma veste. Cette dernière en cuir, gardant un col relevé arrivant juste en dessous de la mâchoire, et arborant une capuche entourée, tout du long, d'une fourrure blanche un peu salie par le temps. Puis enfin mon bonnet noir, recouvrant mon crâne, ayant un coeur dessiné dessus ayant marqué « Heart of Pirate », symbole d'un gang de mon enfance. Pour finir cette partie, parlons des tatouages, ceux sur les mains tout d'abord. Chaque doigt de la main droite porte une lettre du mot Death, ensuite mon bras gauche est recouvert par divers signe tribales partant de l'épaule jusqu'à l'avant bras. Et pour tout conclure, la croix du Christ représentant la foi et la justice est tatoué sur tout mon dos. J'ai également quelques bijoux, comme des piercings en dessous de l'oeil droit, et sur les oreilles, ainsi que des bracelets sur mon poignet gauche et une chaîne autour de mon cou arborant une bague, unique souvenir d'un évènement important..


Description Mentale


La beauté extérieure est très importante certes, cependant il n'y faut pas s'y arrêter. Les gens jugent une première fois sur le physique, et attendent de connaître les secrets de la personne pour juger une nouvelle fois. C'est la deuxième impression qui compte le plus, et pourtant, tout le monde s'arrête à la première. Cette partie reste la plus importante, c'est ce qui fait une personne ce qu'elle est, je suis ce que je suis, que cela vous plaise ou non, et je vous emmerde.

Je suis un vagabond, pas le genre de personne solitaire, arrogante qui se la joue solo, non loin de là. Bien que paria, je me suis bien débrouillé pour rester en vie et toujours être entourer. Je suis au delà des apparences quelqu'un de gentil, attentionné et généreux. Très sociable, j'aime parler aux gens, peut être un peu trop même. On m'a souvent qualifié de bavard, cependant je ne parle jamais dans le vent, ce que je dis reste intéressant et utile. Et bien que ma parole est utile, je sais me taire lorsqu'il le faut. Une chose plutôt rare de nos jours, réussir à lier utilité et parole, silence et respect, la plupart des êtres humains parlent seulement pour eux ou bien pour combler le silence, mais je pense que si le silence est si bon, c'est parce qu'on l'entend si peu. Adroit dans mes mots je les utilise bien, comme quoi mon apparence ne reflète pas forcément mon vocabulaire. Le monde est construit sur une base de clichés, j'aimerais les détruire certes, mais sans eux, le langage serait beaucoup moins amusant. Les clichés sont la source de l'humour, de plus, ils constituent la base de tous les jeux de mots possibles et imaginables. Bien que mon allure de loubard ne corresponde pas à mes mots parfois soutenus, il en demeure pas vrai non plus que par la socialisation ma parole devienne familière. Je peux alterner un langage soutenu, puis familier, ce qui construit aujourd'hui le langage courant des jeunes en quelque sorte. Je sais me tenir face aux personnes importantes, je sais où est ma place même si je ne l'apprécie pas forcément. La vie nous place, nous offre et nous reprend, si nous n'acceptons pas de vivre avec ce que nous avons, cela ne sert à rien de continuer notre chemin. C'est ce que je pense, et je l'assume pleinement. Je reste une personne plutôt franche, même si l'hypocrisie est une chose inévitable. On ne me qualifiera jamais de focu, pourtant cacher la vérité est parfois obligatoire. Dans nos sociétés il faut de tout, un peu de mensonge et beaucoup de vérité serait bien, mais cela est fait autrement, nous vivons dans le mensonge et ne savons plus reconnaître la vérité. Bien que jeune je suis une personne qui a su grandir seule, je me construit tout seul, fait mes propres idées de la vie, par définition je suis mature, bien plus que d'autres jeunes. Je peux peut être vous paraître quelque peu arrogant, mais mon vécu m'a forgé pour garder les pieds sur Terre, il faut simplement savoir être réaliste et se complimenter parfois. Je suis assez naïf, bien que trahi par le monde et déçu par les êtres humains, j'aime encore penser qu'il existe des gens biens, et j'en ai rencontré, l'espoir d'un monde mieux bâti n'est pas éphémère. D'un naturel généreux je donne sans vouloir recevoir, c'est ce qui est le principe de la vie, effectivement, la vie est un combat et dans un combat on donne des coups sans vouloir en recevoir...

Toute ma vie j'ai du me battre pour rester en vie, mon mental, mes pensées, et mes idéaux deviennent totalement autre. Je ne suis pas un adversaire de grande classe, je le sais, je ne peux m'affirmer dans un combat contre un ninja d'expérience. Je n'ai pas encore toute l'expérience des missions à hauts risques que peuvent avoir les ninjas de longue dates. Mais ce que j'ai de plus qu'eux, c'est la pratique. Depuis que je suis un gamin j'ai appris à me servir de mes poings, de mes pieds, de mes genoux, de mes coudes, de ma tête, et de toutes les parties de mon corps pouvant blesser l'autre. Etant un jeune de la rue les combats j'en ai fais, plus cela avançait dans le temps plus je devais me battre. J'ai toujours réussi à m'en sortir, je ne suis pas le plus fort, mais j'arrive à mélanger ma force à ma vitesse, ce qui fait de moi un adversaire à ne pas négliger.Je suis sous estimé, mais ceci reste les plus grandes erreurs du monde. Comme je l'ai déjà dis la première impression reste celle qu'on garde, et pourtant, il faudrait mieux attendre pour juger ensuite, la bêtise humaine leurs coûtent la vie, c'est ainsi que se déroule le cycle du destin. Lors d'un combat je suis sérieux, je ne parle pas, je reste concentré sur mon ennemi. Les combats ne sont pas des jeux, il n'y a pas à être loyal ou pas, on ne rigole pas avec la vie des uns et des autres. C'est pourquoi je n'ai aucune rancoeur, je n'hésite pas à abattre mes adversaires, de toute manière il faut bien se dire et se rendre compte que s'il vit, je meurs, quitte à ce que l'un de nous meurs, je choisis de vivre. J'ai tué plusieurs personnes, je n'ai pas honte de le dire. Je vis avec, c'est dur de l'accepter, mais c'est ainsi que j'ai du grandir. J'aimerais éviter tout combat, c'est vrai, mais pour cela il faudrait la paix, et ceci ne sera pas possible sous peu. Pour être franc, j'arrive à vivre avec le sang sur mes mains, certes je ne prend aucun plaisir à le faire et je ne dis pas que mentalement ce n'est pas très difficile, je dois juste avouer franchement, que le soir, j'arrive à dormir...

Pour conclure cette description je vais exposer mes principales qualités et mes principaux défauts, tout ça dans un paragraphe un peu désordonné. Débutons par le négatif, les défauts. C'est une partie difficile car il faut se dévaluer. Je suis un leader, c'est un défaut dans le fait que je m'impose au sein des groupes, en effet, j'ai toujours raison et même quand j'ai tort j'ai eu raison d'avoir tort, donc au final j'ai quand même raison. C'est ce qui me qualifie, bien que gentil, je m'impose et j'écrase ceux qui s'y oppose, je suis en quelque sorte un dictateur, mais un gentil quoi. Très curieux je me mêle souvent de ce qui ne me regarde pas, j'aime tous savoir pour pouvoir donner mon avis sur tout, et pour au final imposer mon avis. De plus je suis une personne assez naïve, je crois tout ce qu'on me dit tant que cela reste dans la crédibilité. Je peux également, je l'avou, être quelque peu arroagnt parfois, mais cela reste occasionnel, et encore..
Finissons par le positif, les qualités. Comme déjà préciser je suis une personne généreuse, j'aime faire plaisir, et je ne cherche jamais à recevoir. Très adroit dans mes paroles j'aime flatter, et la séduction est un art dans lequel j'aime être l'artiste. Plutôt intelligent j'aime débattre et discuter, ce qui me rend plus sociable et malgré mon physique strict et mon allure de délinquant, je suis une personne qu'on qualifie d'intéressante, d'attachante. J'aime le contact humain, malgré les trahisons et les déceptions subies, les Hommes sont ce qu'ils sont, et de toute manière, entre vous et moi, ce sont les seuls être à qui nous pouvons discuter sur cette planète. Je peux placer dans mes qualités ma curiosité, mon envie de découverte, je philosophe souvent sur les gens, la socialisation, et tout ce qui forme les gens et le monde. Ma naïveté peut être aussi placée ici, elle me permet d'être souvent émerveillé, impressionné alors qu'au final cette chose qui pour moi sera fabuleuse peut pour vous, vous semblez totalement obsolète. J'ai un naturel protecteur, on n'atteint pas mes personnes proches sans m'atteindre, je défends mes valeurs, mes principes et aussi ceux que j'aime, et ceux qui on fait que ma vie n'est pas une torture mais une magnifique aventure...


Je vous raconte ma vie...



Prologue : Haven't met you yet


Les gens se plaignent, râlent à longueur de temps, ils ne se rendent pas compte de la chance qu'ils ont, ni même que leurs bonheurs personnels n'est rien comparé aux larmes d'une seule et unique personne. Dans ce monde tout est individualisme, chacun pour soi, la loi du plus fort en quelque sorte. Que l'on soit d'accord ou pas, il faut l'accepter, vivre selon ces règles et non ses règles. On constitue notre destin par nos choix, ceux là nous sont propres mais ils ne sont réalisables que s'ils rentrent dans la constitution de la société. Ainsi est faite la vie et ce monde, et c'est dans ce dernier que je débarque, enfin...

Je fus conçus par le pur hasard, un rapport sexuel non protégé. Ma mère aimait ça, le sexe, elle en avait même fait de ça son métier. Je ne l'ai pas connu, donc dire d'elle que c'est une pute, cela ne me gêne pas pour le moins du monde. Ma mère était donc une catin, mais une jolie, sans jamais avoir entendu sa voix j'ai au moins vu son visage en photographie. Elle était métisse, brune, les cheveux en carré plongeant, un nez minuscule et en pointe, des yeux resplendissants et d'un bleu azur très clair. Autant dire que c'était une très jolie femme, cependant, trop jeune pour prendre la responsabilité d'un enfant, trop conne pour ne rien avoir fait de sa vie et trop inconsciente pour s'être fait tringlée sans protection pour à peine 50 ryos, elle m'abandonna dès qu'elle le put. Parlons un peu de mon père, maintenant que cela est chose faite reprenons le récit de mon abandon. Alors que je fus conçu le 31 Mars à minuit, et neuf mois plus tard, exactement neuf mois, le 31 Décembre à minuit, mon corps entier sortait de ma mère. L'anecdote avait fait sourire les médecins qui avait jugés amusant de le préciser sur mon carnet de naissance. C'est ainsi, qu'en salle de repos je m'endormais sans être conscient de ce qui m'attendait. Dans un écrin de folie prématuré et prémédité, ma mère s'échappe, en douce, de l'hôpital sans rien oublier derrière elle mis à part son enfant, Daiki Heihachiro.


Chapitre un : Sans repères


Me voilà, allongé dans ce lit d'hôpital. Je suis né il y a quelques jours et ma mère est partie. N'ayant donc aucune attache parentale, ni même familiale, je suis donc ce qu'on nomme un orphelin. Dès ma naissance me voilà dans une catégorie d'exclu, je faisais partie des enfants qui dès leurs premières respirations étaient déjà voués à échouer. J'étais donc seul, sans en être conscient, insouciant je dormais cachant mes yeux pourpres. Ces yeux, quelle déception, juste un trait physique hors du commun me gâchait mon avenir. A ce stade j'aurai pu être adopter par, disons, un couple qui ne pouvait pas avoir d'enfant, riche et attentionné, ou même n'importe quel couple dégueulasse sans le sous et alcoolique aurait fait l'affaire, juste ça ce n'était pas possible. Mes yeux faisaient apparaître des dizaines de rumeurs dans le village où j'étais né, celui de Kiri. Les gens parlaient de Bijuu, de démon, de mauvais présage ou encore de colère des dieux, que des conneries. La couleur de mes pupilles étaient simplement une couleur peu commune ne présageant rien de bon mais rien de mauvais. A cause de cela je fus placé en orphelinat, jusqu'à mes quatre ans tout fut merveilleux. Les enfants de ses âges n'avaient aucuns souvenirs, donc aucun moyen de se souvenir de mon visage. Tout allait bien, j'appris donc à manger correctement, à parler soutenu, à marcher droit, j'appris la politesse et tout ce qui construisait la noblesse d'aujourd'hui. L'orphelinat était financé par l'hôpital, une chance pour moi, pour une fois que j'en avais. D'aussi loin que je m'en souvienne, ces quatre années qui constituent la plus mince partie de mes souvenirs étaient les plus belles années que j'ai vécu, quelle ironie, le bonheur est il réservé aux riches ?

La nouvelle année passait, mon cinquième anniversaire aussi, en partenariat avec l'orphelinat je failli partir vers l'académie. Pourquoi n'ai-je pas pu ? Simplement car mes yeux provoquaient cauchemars et autre frayeurs chez les autres enfants trop bien élevés pour ne pas fondre en larmes. Je fus donc déplacé comme un mal propre dans un autre orphelinat. Celui là était très différent de tout ce que j'avais connu, ici résidait une odeur de sang, de pourriture entourée de gamins reclus et assoiffés. Mon arrivée fut célébrer par quelques coups de poings et coups de pieds à mon égard. Complètement lyncher aussi bien par les surveillants que par les gamins, c'est en sang à la limite de l'inconscience que je passais ma première nuit, paralysé sur le parquet du hall. L'orphelinat ressemblait à une vieille école, sauf que cette école aurait été abandonnée, brûlée et pourrie par le temps. Rien n'était coloré, rien n'était jolie, tout était sombre, tout était laid. Mon deuxième jour j'avais réussi à me défendre un peu, rendant quelques coups, mais j'avais terminé comme la veille, c'est à dire en sang, jonchant le sol du hall, quelques mètres après l'endroit d'hier. Il m'aura fallu une semaine pour pouvoir passer la porte du hall qui amenait aux chambres. Chaque jours tout le monde se tapait dessus, certains disparaissaient du jour au lendemain, et le sang recouvrait les murs. Je crus crever plus d'une fois, je voyais ma vie changer, je ne marchais plus aussi droit qu'avant, je ne parlais plus avec le même vocabulaire, je mangeais ce que je trouvais et je respirais dès que j'en avais l'occasion..

A ce qu'on pouvait appeler une rentrée, des sortes de groupes se formaient petit à petit. Très vite je compris qu'on était classé par notre force de combattre, j'étais, évidemment dans les plus faibles, ceux qui s'en prenaient plein la gueule. Toute l'année j'avais du combattre pour rester en vie. Aucun jeu qui ne faisait pas apparaître un peu de sang n'était accepté dans cet établissement. Ici vivait tous les exclus de la société, chaque personne vivant ici avait été rejetée, personne avait une quelconque attache, on avait rien à perdre et au lieu d'essayer de nous intégrer, on nous entassait et on nous laissait nous entre tuer. Vous trouvez ça monstrueux ? Et pourtant la vie est faite ainsi pour toutes ces personnes qui n'ont pas autant de chance que vous, les inégalités se jouent dès la naissance et rien ni personne ne changera cela, une petite action d'aide peut changer la donne pour ne serait-ce qu'une seule personne et c'est ce qui s'est passée. Alors que la première année allait se terminer, les faibles se faisaient comme tous les jours lyncher par les autres, un de mes compagnons réussis à toucher un plus grand. C'était une chance en or, enfin un moyen de se venger. La haine emplissait nos coeurs et nos âmes, à force de se faire frapper et de ne plus pouvoir bouger nous étions des bêtes servant uniquement à se taper dessus. Je l'avais compris, j'arrivais à développer une idée de la société par tous ces actes, mais bref, reprenons la situation. Je devais agir, malgré le coup de pied dans l'abdomen que je venais de recevoir, je courus à toute allure vers le grand déséquilibré, lui mordant la seule jambe encore stable. Il chuta, dès lors, tous les faibles, tous âgés entre cinq et dix ans s'attaquèrent à cette même personne. Les coups de dents, de pieds, de poings, de lampes et de tout autre objet aux alentours s'abattirent sur cette homme déjà ensanglanté. Avec cette petite victoire, des sourires arrivaient, et nous montions en échelon pour la deuxième année.

Trois années passèrent avant que je n''entre dans le groupe entre les faibles et les forts. J'étais l'un des plus jeunes mais je montais en grade par ma vitesse et mes stratégies. Je savais que pour m'en sortir il me fallait quelque chose en plus, j'avais la technique. Les combats étaient notre quotidien, alors que j'entrais enfin dans ce camp je m'étais juré de ne pas frapper les plus faibles, après tout j'y avais fais partie. Je ne pus tenir seulement deux jours sans frapper une personne, je compris alors qu'on ne lynchait pas par plaisir non, loin de là, mais par frustration de ne pouvoir se défendre face aux plus grands qui nous défonçaient la gueule. Plus je grandissais plus je devenais habile et fort, et plus je devenais résistant. Ce n'était pas étonnant que les plus vieux n'avaient pratiquement pas de plaies, au début je pensais qu'ils avaient tellement perdu de sang qu'ils n'en avaient plus, mais non, il en fallait juste bien plus qu'un coup de poing pour les faire tomber. Dans cette ambiance malsaine et meurtrière, plus personnes ne comptaient les morts, les litres de sang perdus et la misère dans laquelle nous vivions. J'avais déjà pratiquement oublié ce qu'était qu'une vie normale. Grandir dans cette ambiance était atroce, mais lorsqu'on y est, plus personne n'y fait attention, chacun vit dans son monde. Je passais trois ans dans ce camp avant de rejoindre les plus forts. Âgé alors de onze ans je pensais pouvoir avoir une vie plus tranquille mais rien n'y faisait, l'envie de battre les gens, l'envie de combattre et l'envie de voir arrêter son sang couler et ses membres ne plus bouger faisait que rien ne s'arrêta, mais que tout s'empira.

Trois ans passa encore, on ne me frappait plus, j'étais devenu l'un des meilleurs de l'orphelinat, au dessus des plus forts il y avait un groupe, un clan que personne ne voyait. Ce clan était les Hearts of Pirate. Un gang de l'orphelinat regroupant les meilleurs combattants, tout cela dans le but d'atteindre le gouvernement pour faire en sorte que cet orphelinat ne connaissent plus cet enfer. J'étais le plus jeune, le nouveau, mais étonnement personne ne me frappait ici, et on ne se tapait plus jusqu'à ce que mort s'en suive. On avait des réunions, des sorties dans la ville, des pillages, quelques bagarres, mais rien qui me rappelait l'enfer de l'orphelinat. Nous étions dix en me comptant, il y avait le leader Law, il paraissait réfléchi et fort, son second Yuhei, il était fou ne participant qu'aux bastons, ensuite il y avait Kyo, il ne parlait jamais, Genji, le plus fort de la troupe, Yazu, la fille la plus calme et la plus dangereuse que je n'avais jamais rencontré, Inoue, la copine aussi folle que Yuhei, Ban, un stratège hors pair, Jin, un bon combattant arrivé avec Zero juste avant moi. Nous étions les Hearts of Pirate, un gang non reconnu mais craint dans les rues de Kiri. J'avais seulement quatorze ans, tout ça était nouveau pour moi, ainsi, je grandis et appris la vie auprès de ces gens, auprès de leurs valeurs et de leurs principes, me voici, je suis Daiki renégat et vagabond de Kiri, vous récoltez ce que vous semez...


Chapitre deux : The world greatest


Ma nouvelle vie commençait donc, finis les lynchages, finis mon sang qui coule, toutes ces merdes étaient belle et bien terminées. Je ne pensais même plus à mes confrères qui se battaient encore et encore, je visais la place de leader du gang, je voulais juste tout changer. Law dirigeait les opérations mais je le trouvais trop mou, trop peu ambitieux. Nos actions consistaient à voler de la nourriture, de l'argent, des bijoux. Même si à chaque fois qu'on se battait nous gagnions, on avait aucun impact, aucune importance aux yeux des autres. Deux années passèrent ainsi, j'avais pris plus de poids dans le gang, je proposais quelques trucs plus osés. Nous avions débutés par du grand banditisme, nous brûlions les commerces, taggons les murs, nous créions des émeutes anarchistes. Tout cela pour changer quelque chose, mais cela n'avait toujours pas d'impact. Les gens en avaient rien à foutre de cet orphelinat, et nous avions de plus en plus de mal à résister aux Chuunins de Kiri, ma vie reprenait son cours, nous avions réussi à fuir, mais au bout de quelques opérations comme celles là et très vite Yuhei perdit la vie. Je me souviens encore de cette scène, nous venions de mettre le feu à un commerce, les gens se hâtaient, mais on fut repéré. Yuhei avait senti un combat arrivé. Rapidement il était entrer en jeu, alors qu'on était assez entrainé pour repousser quelques offensives des civils, c'était autre chose quand des forces de l'académie ninja du village arriva et lança ses kunais. Tout le monde prit la fuite, mais Yuhei, lui, reçu deux kunais à la jambe, trois dans le dos et un dernier dans la nuque. Six kunais fatidique pour sa vie, et pour nos actes. Peu à peu le gang s'éteignait...

Deux ans passèrent, plus personne ne se parlaient, plus personne ne faisaient plus rien. Nous vivions de pillages, nous errions dans les rues. La vie était devenue monotone et triste, à telle point que Law se suicida. Rien ne se passa dans le gang, aucune tristesse, aucune réaction. Chaque membre se prenait pour des monstres, des bêtes incapables de réfléchir, simplement bonnes pour frapper, pour tuer. Des nouveaux arrivaient chaque année et devenaient fous face aux changements fatidique entre l'enfer et l'ennui. Nous étions dix membres encore, trois nouveaux qui avaient remplacés Yuhei, Law et Inoue, partie après la mort de son copain ( Yuhei ). Je décidais de prendre les choses en main, j'en pouvais plus de déprimer comme ça, d'agir seulement avec des petites convictions. Et c'est ainsi que j'entrais dans une période noire, une période dont je ne suis pas fière. Il n'y avait qu'une seule solution pour tout réparer, un rédemption totale. Alors que tous dormait dans l'orphelinat, j'étais seul dehors dans le froid de l'hiver. Face à cet abominable établissement, je commençais à fumer. Clope au bec, zippo à la main, essence dans l'autre. Dans le calme de cette nuit étoilée j'entourais l'établissement d'essence. Le crépuscule de la pleine Lune éclairait mes actes aux dieux. Je fis le tour, aspergeant bien le tout. Les larmes aux yeux, j'allumais ma clope, jetant le feu sur l'orphelinat. Bientôt les cris, bientôt les pleurs, la Lune n'était plus la seule lumière qu'on apercevait au loin. Le feu consuma mon passé, j'errais désormais seul, mon destin entre mes mains, j'agissais pour leurs biens, je serais le seul à me venger, je serais le seul à subir les conséquences d'un gang de parias...

Mon acte peut sembler fou, mais non, ces enfants étaient voués à devenir des criminels. Notre gang n'avait plus aucun but, plus maintenant. La seule solution était une solution d'extermination, je soulage le gouvernement et je me venge sur ce qu'il me reste d'existence. Tel était mon choix, mes affaires étaient fins prêtes, je mettais mon bonnet où était cousu le sigle des Hearts of Pirate je partis vers mon nouvel avenir. J'avais seize ans, et j'étais déjà capable de comprendre le monde qui m'entourait. Très vite je m'installais dans les bas quartiers de Kiri, la plupart des enfants de mon âge étaient devenus des ninjas aguerris, les autres étaient morts par mes mains. J'entrais dans une nouvelle vie de délinquance, tombant dans le crime et le vice, multipliant bagarres, meurtres, j'imposais une certaine loi aux milieux de tous ces renégats. Ma vie se résumait une nouvelle fois au sang, à la mort, et aux pleurs.



Chapitre trois : Shadow of the day


Je commençais à me faire un nom au milieu des crapules peuplant Kiri. Je n'avais aucune foi, aucune rancoeur, ma routine était d'imposer mon respect à coups de poings et à ma dépendance à la nicotine. Je ne vivais que de combats et de clopes, je n'avais rien d'autre à faire, le problème était que je m'éloignais de ma vengeance, à quoi bon avoir détruis les futurs criminels de ce village si ce n'était pas pour me venger des gens qui nous avaient fait cela. Je m'entrainais donc de jour en jour pour pouvoir m'attaquer à des gens plus puissants. Mon but était d'atteindre une audience, de gré ou de force, face au Mizukage. Je volais un nodachi pour m'entrainer avec. Dans un coin isolé, les coups de mon arme contre les écorces d'arbre amplifiaient ma musculature. Je ne pouvais pas devenir fort sans combattre des personnes, les arbres étaient trop, disons, immobiles. Mon entrainement m'avait permis de gagner un peu en physique, mais mon but était irréalisable, je ne m'en rendais pas compte mais malgré mon passé les entrainements des ninjas étaient bien plus efficaces que ce que j'avais pu endurer. J'avais un mental de fer pour sûr, une grande résistance aux coups aussi, mais la technique prenait forcément le pas. Le Ninjutsu était impressionnant, j'aimais regarder les shinobis l'utiliser. Je devais m'engager mais je ne voulais surtout pas passer l'arme à gauche. Tentant le tout pour le tout, je commençais une carrière de mercenaire secret. Dans l'ombre je combattais quelques déserteurs, quelques brigands, rien de très puissant. Trois ans passèrent, j'avais mûris, et bien compris que la vengeance était bien inutile. Mon esprit était devenu sain, je décidais d'un dernier coup avant de me repentir complètement. Mon dégoût de moi m'avait donné envie de me tuer, ces trois années avaient donnés raison à ma vie, je n'étais plus qu'une carapace abritant une bête sanguinaire. Les larmes coulaient chaque soirs au même titre que le sang dans mes veines. Je ne vivais plus, j'errais dans ce monde, sans but, sans rien à perdre, sans rien à gagner, qui me sauvera dont ?

Malgré le peu de reconnaissance qu'avait certains brigands et autres déserteurs de pacotilles, certains étaient assez forts. Je me souviens donc de ce dernier combat, celui qui devait précéder mon suicide, je me rendais non loin des contrées de Kiri pour empêcher un commerce de contrebande de continuer. J'avais eu l'information par un ninja un trop saoul la veille à l'auberge. Alors que j'y fonçais tête baissée, je rencontrais quelques difficultés à les avoir. Au corps à corps je retenais plus mes coups mais leurs surnombre m'obligea à sortir mon nodachi. Dès lors ce fut plus aisé de leurs trancher les membres. J'avais reçu quelques coups notamment un sur l'arcade faisant couler mon sang en continue. Légèrement aveuglé, j'avais du mal face à cet homme, il avait l'air fort et bien plus entrainé que les autres. Un combat débuta, un long combat, les autres peinaient à se remettre debout, et certains ne se relèveront jamais. L'homme également armé d'un katana croisait le fer avec moi. Enchainant quelques coups de pieds entre les étincelles du fer s'entrechoquant, il prit le dessus du duel. En effet, il arriva à me blesser à la jambe, ralentissant ainsi mes mouvements puis à m'entailler assez profondément pour paralyser mon bras gauche. N'arrivant plus à tenir debout, mis à part avec l'aide de mon arme plantée au sol, je me voyais déjà mourir. Il n'adressa aucune parole, il se contenta de trancher mon abdomen de long en large, d'une diagonale bien tracée. Le sang volant en éclat je crus mourir, je pus voir mon adversaire partir, laissant mon corps gisant sur le sol. Au milieu de mon propre sang je pleurais, repensant à l'être humain, à tous ce que j'avais vécu. Après tout je n'avais fais que de me battre sans aucune raison, mourir maintenant était peut être une bonne chose. Je n'attendais plus rien, j'avais décidé de mourir, et dans un dernier souffle, la couleur violette de mes yeux s'éteignait au profit de mes paupières. Je fermais les yeux, un vagabond laissant sa vie partir, tel est le destin des parias...

Serait-ce des pas ? Une voix ? Non, qui pourrais prêter main forte à un déchet ..


Chapitre quatre : Someone like you


Mes yeux s'ouvraient lentement, une vision floue comme si on m'arrachait de l'au delà. Une fois ma vue rétablie, je l'ai vu. Cette jeune fille, à peine plus jeune que moi, les larmes aux yeux, les deux mains sur mon torse, une aura verte autour de ces dernières. Je ne savais pas ce qu'elle faisait, je n'en avais aucune idée, mais je savais que cela me faisait du bien. Je pu voir ma peau se refermer, je compris plus tard qu'elle m'avait soignée grâce à du Ninjutsu. Son visage je m'en souvenais, ces cheveux pourpre, son pique dans la bouche, son visage doux et enfantin. Mes yeux se refermaient une nouvelle fois, photographiant l'image de l'unique personne ayant eu du coeur face à une personne telle que moi. Elle était comme un nouvel espoir, un renouveau, un second souffle, l'envie de vivre me reprenait peu à peu. Est ce le début de la fin et la fin du début ?

Une fois réveillé, je me sentais bien, ma plaie était soignée, j'étais en pleine forme, et entier. Je me souvenais de cette kunoichi. Je n'avais ni son nom ni aucune information sur elle, mais je devais la retrouver. Cette nana m'avait redonné foi, elle avait fait de moi quelqu'un d'autre, elle m'avait redonné envie de vivre, et je devais au moins lui dire merci. D'une traite je rentrais dans le minable coin qui se trouvait être chez moi. Alors que je me lavais et me changeais, je bloquais devant ce semblant de miroir. La cicatrice qu'il m'avait fait parcourait tout mon torse, une autre vestige de mon passé peu glorieux. Ma rédemption allait être faite, je n'avais plus qu'une seule et unique solution, entrer à l'académie, la principale cause de mes anciens soucis, je changeais de camp en quelque sorte, tirant un trait sur mon passé. Il me suffisait de ne rien dire, de simplement avancer, silencieusement, passer les grades et retrouver cette jeune femme. Tel était mon but, un jour obtiendrais-je la paix ?



Epilogue : Ma vie de Ninja


J'avais dix neuf ans lorsque j'entrais à l'académie autant dire que j'étais bien plus vieux que chacun des autres participants. Les examens n'étaient qu'une formalité avec mon passé et mon âge. Je me faisais discret, respectant tout ce qui devait être respecter. Je m'entrainais durement et lorsque j'avais du temps libre je cherchais cette jeune femme, j'appris que son nom était Maya. Je n'ai jamais réussi à la revoir. Je passais les échelons sans relâchement étant toujours plus vieux que les autres. Je n'ai voulu me faire aucun amis, et j'avais bien fais au vue de l'examen pour devenir Chuunin. Les années passèrent, deux ans exactement, âgé de 21 ans j'avais presque abandonné le fait de retrouver celle qui ma redonner goût à la vie. J'avais eu ma rédemption, mon pardon, je vivais sainement désormais je combattais « le mal » à la recherche d'une certaine paix intérieure plus qu'extérieure. Alors que je venais de passer cet examen, je la revis, là près de cette tour de contrôle. Ce même visage, ces mêmes cheveux, cette même douceur. Je la fixais au loin, jetant ma clope à terre, marchant lentement vers elle, je voulais lui dire merci, simplement la remercier, après tout elle avait fait de moi un homme bon, un homme qui n'avait plus rien à se reprocher, elle avait changer mes rêves en mon propre avenir..

Never mind i'll find someone like you, i wish nothing but the best for you, too. Don't forget me, i begged, i remember you said « sometines it lasts in love, sometimes it hurts insteads...



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Dernière édition par Daiki Heihachiro le Sam 13 Aoû - 5:50, édité 1 fois
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Je m'appelle Invité et je suis un ninja.



Invité








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MessageSujet: Re: Daiki Heihachiro 100 %   Daiki Heihachiro 100 % Icon_minitimeSam 13 Aoû - 5:35

  • Je valide les codes. Les Descriptions sont complètes rien à redire à ce niveau-là. L'histoire aussi même si quelques points auraient pu être éclaircies,la fin ayant été légèrement bâclé. Présentation riche,style fluide, ça garde le lecteur en haleine. Les fautes ont été corrigées même s'il en reste encore. Certaines phrases ont des tournures assez complexe, il y en a quelques unes où j'ai dû relire deux fois. M'enfin. Je connais ton niveau et j'opte pour Jonin Expert avec un bonus de 5 ryôs. Attends un second avis. Wink
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Je m'appelle Sabaku no Temari et je suis un ninja.


Sabaku no Temari

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MessageSujet: Re: Daiki Heihachiro 100 %   Daiki Heihachiro 100 % Icon_minitimeSam 13 Aoû - 15:17

Comment que j'ai aimé ta présentation (non ce n'est pas français et j'assume)!
Des phrases bien formulées (sauf quelques unes qui sont bizarres...), peu de fautes, une quantité et une qualité suffisantes pour te valider. Je connais aussi ton niveau, donc je valide Juunin Expert de Kiri, avec 10 Ryo de bonus parce que c'est la trop gentille Temari qui valide.

Enjoy darling.
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MessageSujet: Re: Daiki Heihachiro 100 %   Daiki Heihachiro 100 % Icon_minitime

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