Je m'appelle Invité et je suis un ninja.
Invité
Sujet: ~Le silence est d'or.
Dim 14 Aoû - 2:22
▬ Σ Nom : ~ Kogane.
▬ Ψ Prénom :~ Seijaku.
▬ φ Age : ~ 26 ans.
▬ Ω Sexe : ~ Masculin.
▬ σ Nindo : ~ La rédemption est ma seule dévotion. Répandre la Catharsis est mon seul objectif. Et le silence restera toujours d'or jusqu'à ma mort...
▬ ℘ Village désiré :~ Kiri.
▬ √Grade souhaité: ~ Épéiste Légendaire.
▬ ∉ Autre/particularité: ~ Vœu de silence jusqu'à sa mort / Rapidité hors-norme à dégainer son Katana, mais de manière moins rapide que la technique des Samouraïs.
My skin and my equipment...
Je suis... -Imposant. - Pâle - Froid - Original L'homme a dans le corps un habit d'arlequin : son âme. La beauté : un être qui s'incarne. Un être qui se glisse dans la chair. Un être qui enveloppe la chair. Un être qui dévoile. Qui vêt de liberté, de grâce. Mon visage s'est égaré dans la clarté de la lune, formé tel un triangle. Dieu est ingénieux, quelle subtilité d'enfermer une âme si pure et si douce dans un corps. Ce n'est que chair qui vieillit et se fane sous les fureurs de dame nature. Alors que l'âme perdure. Elle est étincelante, telle mes yeux argentés. Il y a des yeux qui reçoivent la lumière et il y a des yeux qui la donnent. Je possède des yeux en amende provoquant souvent une sensation de regard accentué. Insistant quelquefois, le mien ne reflète aucune tendresse. Par moment on m'accuse de détenir un regard déshabillant. Pour être plus précis, ma pupille droite est un bleu argenté. Quant à la gauche, elle aussi, est argentée, mais vire dans le pourpre. La bonté est dans la bouche, la méchanceté dans l'oeil et la vulgarité dans le nez. Mon nez étant de type grec, je doute être vulgaire. Légèrement plus bas, à quelques centimètres, mes lèvres. Mes lèvres ne reflètent rien, n'esquissent rien. Figées à mon visage tel le marbre. Presque invisibles. On penserait que mon sang ne circule dans cette zone car la couleur est absente. Blanchâtre, je dirais. La plupart du temps gercées. Quant à mes oreilles, il n'y a presque rien à redire, étant caché sous mes cheveux. Les oreilles décollées, mes lobes sont attachs, légèrement pointus. Alors, ma chevelure à présent. La teinte de mes cheveux varie selon l'intensité de la lumière. Lorsque la lumière est basse et presque inexistante, mes cheveux virent à l'argent. Mais en présence d'une source de lumière élevée, ils deviennent blonds. Lisses, courts, me retombent jusqu'au cou. Ils partent en bataille au sommet de mon crâne et finissent et quelques mèches retombent sur le côté. Une frange glisse jusqu'à mes yeux. Doux, soyeux, éclatants. Passons au reste de mon corps. Les épaules parfaitement symétriques, mon ossature est assez puissante, la taille de mes bras le montre en effet. Cependant, j'ai quelques problèmes sanguins. En cas de blessure, le sang ne coulera pas tout de suite. Mes muscles sont aussi développés. Redescendons légèrement plus bas, ma poitrine, je ne vais pas vous faire de dessin et radoter, comme le reste de mon corps, elle est travaillée. Certains disent que je me contracte les abdominaux en permanence pour me donner un air. Alors que ce n'est pas le cas. Ils sont comme ça grâce à de nombreux entraînements. Je mesure un mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilos. Autant dire que je suis bien répartis et bien bâtis. Ne pensez pas qu'il y ait des couches de graisse quelconque... Dernière étape de ma description. Avant, nous allons évoquer mon odorat en quelques mots. Elle ne se résume qu'à deux mots: tabac et sang. L'odeur du tabac s'explique que je suis constamment en train de fumer. Quant à celle du sang, elle sera expliquée plus tard dans mon histoire. Alors, mes vêtements. Toujours vêti de manière sombre, la ou plutôt les choses qu'on remarque tout d'abord, sont les onze fourreaux à divers endroits. Cinq sont placés dans mon dos, cousus à ma veste. Deux à l'arrière de ma taille, trois autres tombants sur le côté gauche et pour finir un sur le côté gauche. Tous les six accrochés à ma ceinture. Ma première couche est faite d'un gilet en laine noire, avec quelques rayures, variantes de gris. La manche longue de ce gilet se trouve du côté gauche, quant à l'autre manche courte, se trouve bien évidemment du côté droit. En deuxième couche, ma veste, d'un cuir noir resplendissant, elle couvre mes épaules jusqu'à ma taille. Un pantalon légèrement ample en cuir noir, recouvert par un Tare noir. Des bottes noires qui remontent jusqu'à mes mollets. Je porte également à mes avant-bras des Kote noirs. Et pour finir, j'ai un collier ayant une forme en croix, fait de diamant.
Je suis... - Timide - Généreux - Protecteur - Silencieux Les facultés d'analyse, de discernement, de perception et de compréhension sont soumises à une seule chose. Immatérielle, in-odorante, invisible. Chose qu'on côtoie chaque seconde qu'on vit. L'esprit. Il est impossible pour un homme de se décrire psychologiquement. Certains vont voir une timidité, d'autres apercevoir un signe de distance. On pourra qualifier un homme généreux, attentionné d'un calculateur et manipulateur. Bref, l'esprit conçoit, l'esprit domine. Malgré mon désaccord profond pour ce genre de choses, je vais vous énumérer ce qui fait de moi...Moi. Commençons par le début. Ma philosophie de la vie. Elle ne se résume qu'en deux mots: Catharsis et Rédemption. Je suis obnubilé par l'idée de rédemption. Cette chose dont on dit qu'elle purifie l'âme, qu'elle efface les pêchés de votre corps et qui chasse les sombres désirs de votre coeur. Je ne suis pas parfait. J'ai commis des fautes autrefois, mon subconscient a torturé mon esprit et châtié mon âme. Malgré ça, je suis habité par une chose qui me démarque des autres. La Catharsis, elle peut être douce et violente, mais elle doit être fugace et subtile. J'ai changé grâce à elle et je me dois de la propager et de la faire partager aux autres. Cette résolution de problème grâce à une situation critique, dramatique, émotionnelle. C'est souvent au bord du gouffre que l'homme change et se rend compte de ses défauts. La Catharsis nous purifie. Je suis fier d'être un cathartique. Autrefois j'étais un homme sans foi ni honneur. Dépourvu d'aucune moralité, insouciant, imprévisible. J'étais le loup dans la bergerie et le mouton noir dans le troupeau. Les seules choses qui importaient, c'était moi et mon plaisir. Ces délices corporels, les sensations provoquées par l'alcool, la satisfaction d'un meurtre et le sang qui moussait mon visage... Aucun remord, j'étais un fin manipulateur, j'affaiblissais mes ennemis avant la bataille et les achever pendant. J'usais de mon intelligence à mauvais escient. Joyeux, ouvert, je laissais mes victimes se rapprochaient de moi, pour pouvoir les trahir et les poignarder ensuite. Cela n'était que plus satisfaisant. Hélas comme tout bon enfant qui s'amusait, j'étais capricieux. Je me vexais aussi pour un oui ou un non. Les remords n'existaient pas à cette époque. Je vivais au jour le jour et ne me souciais pas de savoir si mes actes étaient bien ou mauvais. J'étais erratique. Sans oublier mon égoïsme. Et cerise sur le gâteau, j'étais vantard et arrogant. Je l'admets, j'ai été une belle ordure. Mais aujourd'hui, j'ai changé. Certes il me reste encore des défauts, mais je les trouve sans grande importance par rapport à ceux du passé. J'ai surtout découvert en moi des qualités que j'ignorais... Pour finir passons au présent. Celui que je suis aujourd'hui, celui qui compte. Malgré que le passé ne nous quitte jamais... Les personnes qui me connaissent diront que ce n'est qu'une mascarade, alors que ce n'est que pure vérité. J'ai su devenir quelqu'un de calme, imperturbable, à la limite du stoïcisme. Je ne l'ai pas cru moi-même, mais j'avoue avoir gagné une certaine timidité. De ce fait je ne fais jamais le premier pas. J'évite d'exposer mes sentiments aux autres, à moins de connaître réellement la personne en face de moi. J'ai développé un esprit très protecteur envers les autres. Et comme vous vous en doutez, à présent, je n'utilise à la violence qu'en dernier recours. Pour moi l'intelligence seule ne suffit pas, je m'efforce de gagner en sagesse chaque jour qui passe. Même si je ne connais pas tout des sentiments humains, je tente de les comprendre et de les assimiler. Pour moi, un shinobi se doit d'obéir et rien d'autre. Comble de l'ironie, je suis devenu généreux.
~Prologue: La sagesse des autres n'a jamais servi à rien. Quand arrive le cyclone - la guerre, l'injustice, l'amour, la maladie, le voisin -, on est toujours seul, tout seul, on vient de naître et on est orphelin. La servante soupire le matin et l'orphelin le soir. Des cris, des échos, un silence... Une pluie. Martellement de gouttes d'eau sur le toit d'un cabanon abandonné. Un ange s'y cache, un ange y perd ses ailes, un ange devient humain. N'est-ce pas merveilleux, la pureté et la douceur d'un nourrisson ? Une caresse, un regard. Ses cris envoutants, douleur pour l'ouïe, merveille pour le coeur. N'est-ce pas cruel d'abandonner un nouveau-né dans ces conditions ? Malheureusement il en est ainsi. C'est par un jour de pluie que j'ai vu le monde pour la première fois, une sensation de fraicheur, une calamité, voilà ce que je suis. Je ne sais pas ce qui s'est produit cette nuit-là, je me souviens juste de m'être endormi au bout de longues heures de cris, de désespoir, de famine et de solitude. Ce n'est que le lendemain matin que j'ouvris les yeux. Il n'y avait aucune différence. Dehors, le ciel était toujours noir, les alentours nappés d'une couche brumeuse. Où est-ce que j'étais ? Une table, une bougie. Un siège, un homme. Il me fixe. Il n'a pas l'air âgé, mais on voit tout de même des traces. Des rides, la peau flasque à divers endroits, la peine qu'exprime ses yeux. Son regard est étrange, il me fixe. Inconsciemment je fais de même. Que me veut-il ? Je l'ignore. Installé sur un lit de fortune, j'observe ces planches de bois. Humide à certains endroits, présence de moisissure à d'autres. Quel genre d'homme pourrait vivre ici. Il se lève et quitte le lieu. Quelques secondes après, un bruit, suivi de plusieurs, similaires. Quelque chose est en train d'être forgé, tout près, le début d'une destinée. Quelques années plus tard, on me retrouve au beau milieu de la rue. Vagabondant, mendiant, volant. Je mendiais le jour, errais l'après-midi et volais la nuit. Aucune occupation, aucune envie. Un goût étrange pour la bagarre s'éveilla en moi. Provoquant n'importe qui, au moins si je ressortais vainqueur d'un combat, je pouvais dérober mon adversaire sans grande peine. J'échangeais ou je vendais les gains que j'emportais. Les soirs en rentrant, c'était toujours le même rituel. Je mangeais ce que j'avais et je dormais. Le vieux faisait toujours la même chose, s'asseoir à la table et m'observait sans dire un mot. Puis il allait forger, comme à son habitude. Je n'avais jamais essuyé de défaites pour l'instant. Jusqu'au jour où je suis tombé sur ce type. Une montagne. Mes coups heurtaient son corps sans réelle force. Chaque coup que je lui portais, il souriait puis m'en envoyer une que je sentais passer. L'affrontement ne dura que deux minutes, à peine. Une minute 50 que je passai à le frapper, dix secondes suffirent pour qu'il me mette par terre. Visage ensanglanté. Je rentrai dans ma "demeure", le vieux toujours là, ses yeux ne me quittaient pas. Je dormis le ventre vide. Au beau milieu de la nuit, il vint me réveiller. Pensant mes blessures. Il m'offrit un katana, léger, facile à manier, extrêmement affûté. Un métal noir étrange.-Repose-toi, demain, tu prendras ta revanche. Demain, la brume aura une odeur de sang... Les seuls mots qu'il prononça. Ça me laissa assez perplexe. Mais s'il y avait une quelconque occasion de me venger,je la saisirais sans y réfléchir. Légère abstinence devant les portes de l'arène. Je n'étais plus sûr de moi finalement. Des hurlements de douleur et de peine raisonnaient en ce lieu. Je ne savais pas ce qu'il m'attendait à l'intérieur. Je n'étais pas inscris à l'académie ninja. Mais le vieux avait comme qui dirait des relations. Je le voyais parler avec quelques gradés de l'académie.Il me pointa du doigt et son interlocuteur hocha la tête. Celui-ci m'appela et m'ordonna de le suivre. Ce que je fis inconsciemment. Nous traversâmes divers couloirs. Une ambiance sinistre, lugubre, j'avais l'impression de me retrouver devant les portes de l'enfer. Il me laissa dans les vestiaires et me demanda d'attendre que l'on m'appelle. Je restai là durant de longues minutes à entendre les cris d'agonie, pour la première fois de ma vie, je ressentais la peur. Et si jamais je me faisais tuer? Il me restait tant de choses à découvrir et au lieu de ça on m'envoie dans les bras de Lucifer. Lorsque vint mon tour et qu'on m'appela enfin, je fixai quelques secondes ce katana, quand mes mains l'effleuraient, toutes mes craintes ainsi que mes doutes disparaissaient. Je pensais que rien ne pouvait m'arriver grâce à ça. Le prenant en main, je pénétrai au coeur de cette arène...~Fin Prologue. Je m'appelle Seijaku Kogane, je suis un Jônin de Kiri et ceci n'est ni le début, ni la fin de mon histoire... Kiri, deux jours avant un coup d'état qui restera dans les annales de l'histoire. Le village de la brume était hanté par l'incertitude, les trahisons, les complots. On ne pouvait faire confiance à personne. Les rues devenaient désertes après 20 heures. Plus personne ne vagabondait. Quelle tristesse. Quant à moi j'erre en permanence. Me mouvant dans la pénombre et la brume, je ne fais plus qu'un avec les ténèbres. Katanas en main, chaque coin de rue que je traversais, était synonyme de mauvais présages. Arrachant la vie d'un mendiant pour lui dérober alcool et argent. Je rejoignais de temps en temps des courtisanes. J'étais un homme, j'avais des besoins et des désirs. Yagura doit sentir sa fin proche. Il était temps de mettre un terme à la brume sanglante. Sa politique n'engendre que souffrance et misère. Le soulèvement va bientôt commencer. La volonté de toute une nation dans les fourreaux d'une poignée de shinobis. On les surnommait les sept sabreurs de Kiri, la fierté de notre village. L'élite en matière d'armes blanches. L'élite de notre monde. Eux aussi étaient présents lors de la Brume Sanglante. Eux aussi avaient dû éliminer leurs "amis" pour pouvoir survivre. Après ces moments de détente avec ces péripitiennes. Je me devais de reprendre de la vitalité. Quoi de mieux qu'une taverne pour ça ? Il y en avait un en particulier que je côtoyais souvent. Celui-ci était en train de fermer boutique, mais quand il me vit, il me laissa tout de même pénétrer. Me servant une bouteille de saké, je me laissais reposer au bar avec un verre et une cigarette à la main. Je profitais avant la fin qui sait. Rien n'est sûr. Dans deux jours ce sera peut-être un échec et la fin des Sabreurs de Kiri. Après quelques verres, j'oubliais ces légers tracas inutiles. Tirant bouffée après bouffée sur ma cigarette, j'oubliais le temps qui défilait derrière moi. J'avais rendez-vous avec une certaine personne, plus un sempai qu'autre chose, il ne s'agit ni plus ni moins du célèbre Kuriarare Kushimaru. Au bout de longues minutes, je finis par regarder l'heure sur l'horloge. J'avais loupé mon rendez-vous. Ça ne fait rien. Autant continuer à boire. Demandant une nouvelle bouteille au serveur, je soupirais à l'idée que ce bon vieux Kushimaru me fasse la morale. A peine le premier verre posé à mes lèvres, que le serveur tenta de me faire un signe discret. J'entendis la porte se refermait. Je me retournais délicatement et finis par voir de quoi il s'agissait. C'est ce que je craignais le plus, il était venu me chercher, maudis sois celui qui m'a dénoncé. Sans doute un de ces mendiants que j'ai menacés auparavant. Quittant mon siège, je me mis à marcher en sa direction et voulus entamer les discussions. Il ne me laissa pas le temps de parler et dégaina son épée à coudre. Celle-ci s'arrêta à quelques centimètres de mon visage. -Attention à tes mots Kogane... -Vous-aussi Sempai, il serait regrettable que nous quittions ce monde tous les deux. Un kunai était à quelques centimètres de l'un de ses points vitaux, à proximité de son ventre, simultané ? Non, j'avais sorti mon kunai avant même de m'être levé de mon siège.-C'est une menace ? Laissant apparaître sur mon visage un sourire narquois, je lui répondis sur un ton amusé et provoquant.-Je n'oserais jamais Sempai, je ne suis peut-être pas plus rapide que vous, mais j'aime prendre des précautions avant de partir à la chasse si vous voyez ce que je veux dire. J'avais le don d'énerver les plus calmes, même si ça ne se voyait pas, j'étais sûr que derrière son masque, il grinçait des dents, l'envie de m'égorger devait lui chatouiller l'esprit.-Tu sais autant que moi ce qui va se passer dans deux jours, en tant que futur membre de la génération successive tu dois être prêt à répondre à nos exigences. Ses paroles n'eurent comme seul effet d'accentuer mon sourire narquois.-Si je peux me permettre Sempai, cette tentative est vouée à l'échec. Je préfère prendre mes clics et mes claques et virer de bord... Quelques années plus tard... Des corps meurtris, des flaques de sang à en vomir, le sol est couvert de crasse et de souillures en tout genre. Il y eut une grande bataille la nuit dernière. Le fracas des épées. La boue qui se soulevait à chaque passage. La terre qui se retournait. J'étais adossé à un arbre, katana en main, liés à mon poignet à l'aide d'un foulard. Ce n'était pas encore fini. Ma respiration devenait haletante. Une bouteille de saké à mes pieds, je la saisis en main et vidai les dernières gorgées qui restaient. Je quittai l'arbre et me mis à marcher de manière maladroite, j'étais presque à bout. Je franchirais mes limites dans peu de temps. Cela faisait une nuit entière que je combattais sans relâche. Kiri avait envoyé des hommes à ma poursuite. Tous portant des masques d'Oinin, mais à en juger leurs niveaux, ils ne devaient pas être plus gradés que Chônin, même si durant l'assaut, il y avait des ninjas valeureux. Je n'avais remarqué que huit talentueux shinobis depuis le début du combat, leurs corps gisaient au sol. J'étais prêt de la petite cabane où je vis le jour pour la première fois de ma vie. Tentant maladroitement de rester debout, je poussais un cri de fureur, pour inviter les larbins qu'on avait envoyés me tuer. J'entendais leurs pas, ils arrivaient... Ils n'étaient que trois, m'encerclant, ne me laissant aucune porte de sortie. Était-ce donc toute la puissance de l'escouade des chasseurs de déserteurs ? J'étais déçu. Je repartis dans un rire diaboliquement sournois, reflétant, toute la noirceur de mon âme. J'utilisais un ninjutsu commun à l'élite de mon village. Camouflage dans la brume. Une brume épaisse recouvrit la zone. Séparant les trois co-équipiers. J'étais dans mon élément à présent. Katana à la main, je tentais de me dissimuler à l'arrière de l'un d'entre eux et lui portait un seul coup. Malheureusement, celui-ci avait des réflexes qui le démarquaient des précédents combattants. Réitérant à plusieurs reprises la tentative. Rien y faisait, il parait tel un diable. Mais il restait un ninja de seconde zone. Comme les sept épéistes, je maîtrisais une technique redoutable quand on la combinait au Kirigakure. L'assassinat furtif. Aucun bruit, même le vent n'a su prédire à quel moment je m'étais retrouvé en face de mon adversaire. Il ne me suffisait plus qu'à lui trancher la gorge. Il n'en restait plus que deux. Je n'étais plus en mesure d'exécuter une quelconque technique. Profitant du peu de chacra qu'il me restait, je restais dissimuler dans la brume, mais celui-ci me sentait arriver. Un ninja senseur. La brume vint à disparaître... Il n'y avait plus rien à faire, j'étais à court de chacra. Mon katana tomba à mes pieds, j'étais assis, dos à dos avec ma demeure. Mes ennemis s'avançaient vers moi, prêt à m'achever. Je fermais les yeux, attendant ma mort... A cet instant un cri de douleur retentit, ce n'était pas le mien, rouvrant les yeux, l'un des Oinins avait poignardé son co-équipier. Le senseur était mort. Mon ennemi retira son masque...-Oji-San... Je fermai les yeux, soulagé que ce soit le vieux qui m'eut gardé durant mon enfance, j'allais vivre, c'était une bonne chose. Rouvrant les yeux, je l'ai vu se suicider à l'aide de son katana. Je m'approchai de son corps qui mourrait et le retint par la nuque. Des larmes coulèrent de mon visage. A l'aide de son doigt, il désigna les cadavres des dix autres, puis finit par me montrer son ancienne forge.-Garde le silence pour tes crimes, jusqu'au jour où tu seras pardonné, la parole te sera rendu... Les derniers mots qu'il prononça. Je restai-là, des heures à pleurer sa mort. Lorsque la nuit tomba. Je rassemblai les onze épées de ses valeureux guerriers. Les mettant dans la fonte, je prélevai leur sang à tous, en leur hommage et je reforgeai onze épées identiques, toutes se ressemblaient, toutes avaient été formées à base de ce métal noir...Je m'appelle Seijaku Kogane, Épéiste de la Brume et ceci n'est ni le début ni la fin de mon histoire... [Navré pour cette histoire sans qualité. u__u]
Autre chose ? : Mmmmh, j'aime l'argent et les femmes, ainsi que l'alcool.
Votre avis sur le forum : Un Design Magnifique 10/10 , c'est ma femme qui l'a fait, normal qu'il pète
.
Votre activité sur le forum: 7/7
Comment avez vous connu le forum : ~ Just Me.
Avez vous lu les règles ?
Est-ce un double compte : Oui.
Autre chose ? (Indiquez vos remarques, suggestions, impressions...) : Who am I ?