Je m'appelle Zedd Hyûga et je suis un ninja.
ANBU de Konoha
Sujet: Zedd ~ Un destin oublié
Jeu 1 Sep - 11:29
▬ Σ Nom : Inconnu
▬ Ψ Prénom/Surnom : Zedd
▬ φ Age :24 Ans
▬ Ω Sexe : Gros
▬ σ Nindo : « Je protégerai mon village et mes amis au péril de ma vie, voilà ce qu'est mon Nindô ! »
▬ ℘ Village désiré : Konoha
▬ √Grade souhaité: Oi-Nin ?
▬ ∉ Autre/particularité: Ne peut pas utiliser les affinités (katon, doton ..), et les genjutsu mais utilise principalement le Chakra pur et le Kenjutsu.
Je suis... Rapide Mince Pourpre un épéiste ! H abituellement, je ne me présente à Konoha que sous une forme peu commune. Je ne suis pas spécialement grand, un mètre soixante-dix-neuf, mais on me dit toujours que j'ai une forme un peu élancée du fait de mon faible poids, soixante-cinq cinq kilos. Je ne suis pas très musclé, si on regarde bien je peux même paraître frileux. J'ai peut-être l'air faible, mais c'est là que vous vous trompez. Je suis capable avec la force de l'esprit d'arrêter un projectile ou un Katana ! Mais ne vous attendez pas à voir des abdominaux jaillissant de mon bide, ou des biceps de trois mètres, bien sûr que non. On m'a toujours dit de ne pas me fier à l'apparence physique, et bien, suivez mon conseil.
J e possède un visage normale, peut-être un peu trop doux pour mon âge. Mes cheveux sont d'une couleur violette foncée, généralement attachés par une queue de cheval puisque leur longueur n'est pas des moindres. Je tiens à ma coiffure plus qu'à toute autre partie de mon corps, car elle représente mon enfance, l'ayant laissée pousser pendant que je fus enfermé.Concernant mes habits, je ne suis après tout qu'un Oi-Nin. Cela implique forcément une cape noire, longue, retombant jusqu'aux chevilles, avec une capuche pour se cacher le visage. Sur la mienne des motifs bleus tribales sont dessinés. Pas mal hein ? En dehors de mon post, je me balade en Kimono beige tombant jusqu'à mes pieds. Étant droitier, je porte ma sacoche d'arme à la jambe droite. Autour de la cuisse, plus précisément.
D es scandales de ninjas entourent mes pieds; pas très beau ,mais tellement pratique ! Mais ce qui me distinguedes autres est un masque blanc et bleu. Certes, tous les Oi-nin ou Anbu en portent, mais le mien est bien plus beau que tous les autres puisque je l'ai confectionné moi-même. Cela me permet de me distinguer des autres.
J e peux aussi décrire mes capacités au combat si vous voulez ! Que dire ... Je suis un maître en défense. Capable d'esquiver ou de bloquer la totalité des coups ! Ayant développé une technique de chakra pur, je peux généralement bloquer toute technique me visant. Je dis « Généralement » car je ne suis jamais à l'abri d'une exceptionAu niveau de mes capacités physique, je ne suis pas très musclé, mais je peux vous dire que mes coups font mal. De plus, ma rapidité n'est que plus affectée par mon petit poids. Je peux me déplacer rapidement, de branche en branche. Mon endurance n'est plus à tester, et mon intelligence non plus. Généralement, je n'utilise pas d'armes, hormis le katana en ma possession. Ainsi, je suis aussi passé maître dans le Kenjutsu.
L orsque je me bats, je change du tout au tout. Mon visage, qui est généralement rayonnant de bonheur, affichant un large sourire, devient neutre, vide. En combat, je ne ressens aucune émotion, je n'affiche pas madouleur, et je ne fais jamais de commentaire.
L e fourreau de mes katana se situe au niveau de ma hanche gauche. Une fois mes Katanas dégainés, vous pouvez les admirer dans toute leur splendeur : Long, juste leur lame fait un mètre vingt. Le premier possède un manche, qui, quant à lui, est d'un bleu azur couplé avec des zones dorées en forme de crocs et des spirales mauves. La lame est a priori normale, forgée dans de l'acier. La lame est grise, mais ce qui en fait un sabre particulier c'est que la lame brille en bleue au contacte d'une lumière quelconque. Ce n'est qu'une question de design, bien sûr. Le second possède une garde dans le même style, la seule différence reste sa lame qui est courbée vers l'intérieur. Quant à mon troisième Katana, il est bien plus épais que les deux premiers mais il ne sert que pour la défense.
Je suis... Patient Altruiste Humble Protecteur P assons maintenant à ma psychologie. Sur ce point, j'ai deux stades. Celui où je suis avec des amis, souriant,bienveillant, et lorsque je me retrouve contre un ennemi, sans pitié et vide. Cela dépend des moments, mais la plupart du temps je me montre sous la forme amicale.D 'humeur sarcastique, j'aime bien tester les gens. La nature humaine reste pour moi quelque de fascinant et à la fois terrifiante. Pourtant, lorsqu'il s'agit de mes proches, je n'hésite pas à me sacrifier pour leur propre protection. Lorsque je suis à Konoha, mon coeur est empli de fierté et de bonheur. Je ne suis pas compliqué comme gars. Je ne suis pas prise de tête non plus. J'aime rigoler, plaisanter, et faire des farces (cela reste ma principale occupation). Mais je me dois de garder une double personnalité. Dans un coin de ma tête est caché, bien profond, le Zedd qui autrefois était sanguinaire. Celui-là, je le laisse pour mes ennemis. Je hais les lâches, les pourritures qui vous frappent dans le dos en espérant que vous ne vous releviez pas.J e n'abandonne jamais. Vous le verrez assez vite, je ne suis pas un lâche. J'aime me battre, je ne m'en cache pas, et vous ne me verrez jamais renoncer à quoi que ce soit. Je prends du plaisir à m'entraîner, surtout avec mes amis, mais ce que je préfère reste les balades au clair de la lune. Même si vous me prenez pour un sentimental, faites attention à vous, car je contrôle très bien mes sentiments. En champs de bataille, ils ne m'influencent que très rarement. « T out le monde ment ». Voilà le fondement de mon raisonnement, ma phrase fétiche, ou appelez ça comme vous voudrez. Les hommes mentent pour pleins de choses : Se sauver la mise, améliorer une relation sociale, se faire admirer, ou par pur plaisir. La seule différence sont les degrés de mensonge. Moi, je déteste mentir, je ne le fais que pour aider les autres, jamais pour moi-même. Je peux être manipulateur lorsque la situation le demande, mais je n'aime pas ça pour autant. Certaines choses peuvent être faites, d'autre doivent être faites. C'est là toute la différence.J e n'ai pas vraiment de but dans la vie. Je m'entraîne lorsque je peux afin d'améliorer mon niveau global, notamment en Ninjutsu. Je me contente de protéger mon village jour après jour sans pour autant suivre un but précis. Ma plus grande frayeur serait que mes amis se fassent tuer sans que je ne puisse rien faire. « Je protégerai mon village et mes amis au péril de ma vie, voilà ce qu'est mon Nindô ! »
Je vous raconte ma vie...
Chapitre I Un commencement sans fin 2 4 ans auparavant, le village de Konoha était paisible. La paix prospérait au-delà des limites du village, et même les déserteurs s'étaient accordés une sorte de « trêve ». Jamais le monde des ninjas n'avait été aussi calme. C'est dans cette ambiance que ma mère décida d'avoir un enfant avec mon père. Je ne peux pas vous raconter leur histoire, je ne la connais pas moi-même. A vrai dire, j'ignore totalement qui étaient mes parents, mais j'imagine aisément qu'ils étaient de fidèles partisans de Konoha. Mon père était Ninja et ma mère me gardait à la maison. Pourquoi je n'ai pas suivi leur voie ? Pourquoi ne suis-je moi-même pas fidèle a Konoha ? Parce quemon destin m'a conduit à détester les villages, à les haïr plus que tout. Et même si j'ai souhaité connaître mes parents , je ne peux plus rien changé maintenant. Vous savez, on songe souvent à pouvoir retourner en arrière. Tout effacer. Changer le cours de l'histoire. De son histoire. Et bien pas moi. Je suis très bien comme je suis.
C omme tout nouvel enfant, je suis née en pleurant. J'ignore où, mais je suppose que Konoha fut la première ville de ma vie. A vrai dire, je ne connais pas beaucoup de choses sur moi. Même mon prénom et mon nom me sont inconnus. C'est ma tante qui m'avait raconté mon passé. Ou du moins, une partie. Je suis née dans un hôpital civil. Mes parents ne faisaient pas partis d'un clan, et n'avaient pas de pouvoirs héréditaires, spéciaux, etaucune compétence hors du commun. Je n'ai pas de photos d'eux, je ne peux pas vous les décrire. Mais d'après ma tante, mon père avait un charisme fou, et ma mère était très jolie. Apparemment je n'ai pas du tout hérité d'eux; le physique a du sauter une génération.
E n très bonne santé, je fus confié à mes parents deux jours après ma naissance. Les médecins trouvèrent néanmoins une anomalie. Mon chakra n'était pas normal. Il était trop consistant. Mais ce détail passa vite inaperçus et je fus élevé normalement, comme le fils d'un ninja et d'une femme au foyer.
Chapitre II Il fait tout noir ... C oncernant mon apprentissage, je grandis normalement. D'une taille honorable, d'une force dans la moyenne, jusqu'à mes six ans je me contentais de m'entraîner au lancer de Kunaï. Ça non plus, je ne m'en rappelle pas. Je ne développais aucune capacité spéciale hormis une certaine agilité avec les Katanas. Partisan du Iaido, j'aimais bien dégainer tout en frappant. Et un jour, j'entrai à l'académie.
N otre professeur fut un certain Hayate Gekko. Je n'étais pas un mauvais élève, mais la plupart du temps je ne me sentais pas concerné par les cours. Durant ma scolarité, je sautai une classe. Non pas parce que j'étais plus doué que les autres, mais simplement parce que je m'entraînais plus. Durant deux ans, je ne fis que perfectionner mes acquis. Et le jour précédant mon 8ème anniversaire, j'ignorais que ce serait la fin de Konoha. Enfin, la fin du Konoha que je connaissais.
P endant que je rentrais chez moi, une énorme explosion eut lieu. La terre tremblait, les bâtiment s'effondraient. La fumée qui s'élevait de chaque accident souleva un brouillard épais. Je pouvais tendre le bras et ne plus voir ma main à ce moment-là. Paniquant comme jamais, et pourtant d'ordinaire calme, je me réfugiai chez moi. Il y avait ma mère et ma tante, mon père étant en train de combattre le fléau qui sévit dehors. Durant un temps quinous paru interminable, nous éprouvions un sentiment de peur intense qui nous paralysait tout trois. Puis le calme. Le calme suivant la tempête. Mais ce fut bien court. Sortant jeté un coup d'oeil, ma mère me laissa avec ma tante à l'intérieur. Dans cet épais brouillard, je ne vis qu'une ombre « happer » maman. Comme la main du Dieu de la mort fauchant une âme. Le coeur brisé, je m'éffondrai sur le sol, inerte, dans un silence dont je profitai pleinement.
J e me réveillai deux jours plus tard. Seul. Je n'étais pas dans un hôpital comme je l'aurais voulu. Nous étions, ma tante et moi, enfermés dans la maison, bloqués sous les décombres. On aurait dit que tous les bâtiments autour de la maison s'étaient abattit dessus intentionnellement. Mais malgré tout, ma maison survivait et résistait sous cet énorme poids. Nous restâmes coincés encore deux jours. Puis plus rien, le trou noir. Je ne me rappelle pas ce qu'il s'est passé après, juste du moment où je me suis réveillé.
J e ne sais pas quand, ni comment, et encore moins pourquoi, mais je me suis réveillé. Une salle sombre abritait plusieurs prisonniers. J'en faisais parti. Luttant tout d'abord pour sortir, je ne pus qu'assister à ma fin. Et un homme m'apparut alors. Un homme gris, grand, long, au regard de serpent et aux longs cheveux noirs. Orochimaru. Durant plusieurs jours, mois, années, il utilisa mon corps comme réceptacle de ses expériences. Effaçant ma mémoire petit à petit, je ne devins qu'un corps vide, sans âme, sans espoirs ...
E t puis il me changea d'emplacement. Sûrement pour me tester. Terré au fond d'un grotte, je ne pus que reconnaître la voix du second prisonnier à mes côtés. Ce n'était autre que ma tante. Seulement, à ce moment-làj'étais encore un légume. Elle fut tout d'abord choquée, puis m'aida comme elle le pouvait. Chaque jour, elle me contait une histoire. Mon histoire. L'histoire d'un jeune garçon enlevé par un vil serpent afin de satisfaire sa curiosité. Mais même si a présent je connais mon histoire, je reste insensible à toute chose. Et je me suis toujours demandé sicette insensibilité me venais d'un traumatisme, ou d'une expérience d'Orochimaru ? Était-ce un don, ou un calvaire ? Je n'eus jamais le temps de lui demander ...
Chapitre III En cavale V ers ma quinzième année de vie, je commençais à me demander à quoi ressemblait la vie dehors. De plus en plus de questions m'apparaissaient, et chaque question en apportait d'autre. Peu à peu, mon envie de sortir grandissait. Jusqu'au jour ou Orochimaru me fit confiance. Assez pour que je le trahisse ...
D ans ce temps-là, je connaissais un Kimimaro Kaguya. Un jeune garçon tourmenté. Il n'était pas encore malade, on faisait quelques missions ensembles, et sa forme et sa force m'impressionnaient. Moi je n'avais aucun talent particulier. Je n'arrivais pas à utiliser de Jutsu, mais je restais un expert en Kenjutsu. Orochimaru ne perdit jamais l'espoir d'un jour me voir utiliser le Ninjutsu et pour utiliser ce chakra pour ses propres fins. Mais jamais il n'en eut l'occasion.
D urant une mission avec Kimimaro, nous devions trouver une certaine Tayuya afin de la persuader de rejoindre le nouveau village de Orochimaru. Bien sûr, celle-ci était loin. Et durant le chemin, je remarquais que Kimimaro crachait du sang. C'est à ce moment-là que je devinai qu'il était malade. Sûrement héréditaire, ou orpheline. Va savoir. Ceci dit, il restait mon ami, et le seul.
D ans la forêt entre Konoha et Suna je réussis à m'enfuir. Sous les yeux ébahis de Kimimaro, je partis en direction de Suna. Seul. Je savais qu'il ne me rattraperait pas. J'étais bien trop rapide pour lui. Et pendant plusieurs jours, j'errai dans le désert de Suna, sans eau, sans nourriture. Bien sûr, j'étais Naïf. Comme un gamin redécouvrant le monde. Et un peu trop à mon goût.
M 'abandonnant dans le village de Suna, je trouvais du travail et commença à m'affirmer en tant que mercenaire. Au début, tuer me paraissait difficile. Première victime, hésitation. Seconde victime, dégoût. Troisième victime, pitié. Et les autres ne devinrent qu'un chiffre dans ma tête. Pendant un an, j'enchaînais ainsi contrats sur contrats, collectionnant jusqu'à 167 victimes, civiles ou ninjas. Maniant une technique à trois sabres, même les plus grands des guerriers vacillaient face à ma vélocité. Tous sauf un. Kimimaro.
P endant une année je fus tranquille. Pas d'embrouille, de trace d'Orochimaru. Même asociale, froid, distant, le gens m'aimaient bien. Je n'ai jamais su pourquoi. Peut être voyaient-ils en moi une personne tourmentée, en mal d'affection. Mais moi je ne sentais qu'une coquille vide. Puis Kimi me retrouva, dans mon hôtel minable à Konoha. Et tel de vieux amis, nous entamions un dialogue.
«
Salut, Zedd. - Hmm, salut Kimimaro. - Alors ? On se la coule douce à Konoha ? - Mouais, je fais ce que je peux. - Arrête de me prendre pour un con. Tu sais pourquoi je suis ici. - Oui... Laisse moi finir ma clope. - Si tu veux, après tout, je te dois bien ça. - Tu veux te battre ici même ? - Après tout, pourquoi pas ? - Hum … »
D 'un revers de la main, je dégageai ma cigarette de ma bouche. Je savais que Kimimaro serait difficile à battre. Mais pas à ce point là. D'un geste vif, je dégainai ma première épée de la main gauche, abattant un coup horizontale dans le même mouvement. Je voulais d'abord le paralyser en lui coupant les tendons du genou. Bien sûr, il esquiva sans problème, et c'est là que ma seconde épée intervint. Mon bras droit l'attrapa, celle accrochée dans mon dos, au-dessus de mon épaule, et tenta un coup vertical cette fois. La peau de Kimimaro s'ouvrit alors verticalement, arborant un long fil de sang. Un rictus de haine se dessina alors sur son visage. Habituellement, Kimimaro était serein, mais là, je pouvais lire la colère dans ses yeux. D'un geste rapide, il sortit deux os aiguisés en guise d'épées de ses coudes, sa peau devint brune, ses yeux jaunes, et une queue poussa. La marque maudite avait atteinte tout son corps. Je ne l'avais jamais vu comme ça.
«
Je vais vite en finir, Zedd. Et tu pourras retrouver ta tante. »
I l donna alors un coup en croix vers mon torse. Je savais que j'aurais pu l'esquiver. Je savais que j'aurais du l'esquiver. Et pourtant, je n'esquissai pas un seul mouvement. Son coup me frappa de plein fouet. Un souvenir amère dans ma bouche. Le sang coula abondamment sur le sol, une croix rouge dessinée sur mon torse. Je souris alors.
«
Pourquoi retiens tu tes coups ? … »
K imimaro pensait m'avoir tué, mais c'était faux. Plaçant ma troisième épée dans ma bouche, j'utilisai mon déplacement instantané pour traverser le corps de Kimimaro. Moi aussi je crus l'avoir tué. Et rien n'était moins vrai. Son sang coula sur le sol. Une sorte d'étoile tatouait son thorax. On pouvait voir ses Os légèrement abimés derrière sa peau. Mais rien de bien méchant. Et dans un geste lent mais calculé, il tendit ses deux bras vers moi. Je ne connaissais pas toutes ses techniques, et celle là m'était inconnue. Dix phalanges sortirent de ses doigts à une vitesse hallucinante et se dirigèrent vers moi. Je mis alors mes épées en croix et dévia la plupart des projectiles. Mais étant encore peu habile avec ma bouche, mon épée glissa et tomba sur le sol. Profitant de ce moment de déconcentration, Kimimaro me donna deux coups au niveau des poignets. Je bloquai avec mes deux épées, mais la position me fut très désavantageuse et je dus lâcher mes armes.
«
C'est finis … »
T endant ses bras vers moi, ses phalanges s'expulsèrent à nouveau vers moi. Pensant que mon heure était arrivée, les yeux fermés, je tendis néanmoins les bras en avant par réflexe. Je sentis alors une force m'envahir, comme de l'eau parcourant mon corps. Quelques secondes passèrent sans que rien ne se passe, et lorsque je rouvris les yeux, un mur bleu se dressait devant moi. Un mur fait de chakra pur. Mon chakra est plus épais que les autres ... ?! Les phalanges flottaient à l'intérieur de ce mur. Je compris alors le potentiel de mes pouvoirs. Et avant que Kimimaro ne fasse un seul geste, je tendis mes mains vers lui, paumes grandes ouvertes. Une onde de choc bleue sortit alors de celles ci, et dans un énorme cri, je déployais toute la force qu'il me restait dans cette attaque. Kimimaro fut alors éjecte en arrière. Les fenêtres explosèrent, les rideaux se déchirèrent, et Kimimaro tomba de l'hôtel, ses phalanges ayant transpercées sa peau de part en part. Essouflé comme jamais, je me penchai néanmoins par la fenêtre - Enfin ce qu'il en restait - Et vis Kimimaro repartir du village. Pourtant ce n'était pas son genre. Et dans ma surprise, plusieurs témoins commencèrent à m'applaudir à côté. Des habitants sûrement. N'ayant plus éprouvé de sentiments depuis des années, une larme roula alors sur ma joue. J'étais heureux, heureux comme jamais.
E t depuis ce jour, je vis paisiblement dans le village de Konoha en tant que Oi-Nin. Si je ne peux plus tuer les innocents, moi, je m'occupe des Déserteurs. Un mystère reste néanmoins à résoudre : Pourquoi Kimimaro s'est-il enfui ?
Autre chose ? Ben écoutez, vous pouvez me surnommer Nutell'a puisque c'est mon pseudo sur la plupart des jeux. Je suis quelqu'un de plutôt direct, mais je déteste vexer les gens (par contre j'adore les blagues en tout genre). J'adore tout ce qui touche aux jeux vidéos, et puis je crois que c'est tout.
Ah non, j'adore les animaux ♫.
Votre avis sur le forum ( design, contexte, règles, staff...) : Personnellement, j'adore la bannière. Sinon je connais déjà notre Fondateur dont je ne ferai pas d'éloges (Pas de lèche siouplait) et le contexte est sympathique.
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Avez vous lu les règles ? (code
s )
Est-ce un double compte (Répondez par oui ou non) : par oui ou non.
Autre chose ? (Indiquez vos remarques, suggestions, impressions...) : Pas vraiment, tout est parfait
Dernière édition par Sasuke Uchiwa le Ven 2 Sep - 15:14, édité 6 fois