La vie n’est qu’illusion. La vie n’est pas faite pour être vécu, enfin, pour certaines personnes qui ne savent pas la chance qu’ils aient de vivre. La vie leurs fait croire qu’ils ont des amies, elle leurs fait faire confiance en quelqu’un d’autre, a lui révéler tout leurs secrets, même les plus intimes pour qu’a la fin, cette personne partent sans regardé derrière. Vivre ensemble ou mourir seul. J’en ris encore. L’escouade de brigand que je venais de décimé avait crié cette phrase là juste avant de m'attaqué. Pour des criminels sans fois ni lois, ils avaient quand même une mentalité qui leurs étaient propres je dois dire. Ils savaient vivre en communauté, pour eux, ils étaient frères et c’est justement pour ça que je n’ai aucuns remords pour leurs avoir hottée la vie. Ils n’étaient pas frères alors pourquoi se considéré de la sorte ? Ils s’étaient construit une vie, une vie bercer dans l’illusion d’appartenir a une famille. Une famille, ils ne connaissent pas la vraie définition de ce mot. Personne ne peut le connaitre, mise à part moi. Ils n’avaient pas eu de père comme le mien, ils n’avaient pas reçu des coups par milliers juste pour avoir osée le salué, ils ne connaissaient rien au mot famille. Leurs corps gisaient au sol au dessus d’une grosse flaque de sang. Je me tenais debout, le pied sur la tête de leurs chefs. L’avant bras gauche remplie de sang, leurs sangs. Mon kunai lui était teint en rouge, on ne pouvait y voir rien qu’une parcelle de noir. J’avais commis un crime, je le savais mais c’était si bon. J’avais sentis la peur dans leurs yeux. J’avais sentis la peur dans leurs gestes. Je les avais écoutés tenté de me ramener à la raison juste avant que je leurs arrache le cœur. Je pouvait même entendre leurs cœurs battre la chamade une dernière fois.. Je n’ai pas de cœur et je le sais.


« T’es qui toi ? »

Le son de ma voix lui était déjà parvenu aux oreilles quand je décidais de descendre de cette pyramide de corps ou j’étais le sommet. Je venais de lui adresser la parole et elle faisait que m’ignorer, je détestais ça. Les gens qui se croient supérieur aux autres n’étaient pas faits pour vivre. Je m’avançais vers elle, mes pas se faisaient de plus en plus rapide jusqu'à arrivé à environs 3 mètres. C’était une femme. Une femme brune, les yeux d’un bleu resplendissant. Qui était-elle ? Je m’enfutais complètement de cette question, je voulais savoir ce qu’elle faisait là. Elle avait regardé le carnage depuis son début, a croire que je n’avais pas sentis sa présence. Une femme civilisé aurait intervenu, m’empêchant de tous les tuer mais elle.. Elle n’était pas normale. Pourquoi n’était-elle pas intervenue ? Il n’y avait qu’une seule réponse a cette question : Elle aimait le sang et les coups. C’était la première fois que je rencontrais une femme sadique mais, pourquoi elle ne m’avait toujours pas répondu ? Qu’allait-elle faire maintenant ?


« Je t’ai posé une question alors répond. Ca t’évitera peut-être la mort, qui sait.. »

Ma voix avait une nouvelle fois retentis. Cette fois, on pouvait y entendre une pointe de colère. Elle m’avait mis en rogne à faire la sourde comme ça, je n’aimais pas être ignoré. Pour qui se prenait-elle a faire comme si de rien n’était ? J’allais devoir attendre une réponse de sa part. J’avais beau cherché, je ne trouvais pas de signe d’appartenance a un quelconque village. C’était donc un déserteur ? Si oui, je n’allais pas me gêner pour l’envoyé rejoindre ces hommes derrières moi.