Formation d'un binôme de choc !

**Messages :** 7 **Date d'inscription :** 23/08/2011 Fiche du Shinobi Ryos: 400

Un jour, je répandrais ma haine sur ce monde. un jour, il plongerait dans les enfers de la solitude et de la désolation, pour que tous puissent connaitre la souffrance. Il s'en relèverait plus fort, et ces chiens pourraient comprendre que le bonheur, durant des années de recherche, était en faite aux portes de la haine qu'il apprivoisait. La catharsis apporterait une paix durable. Et savez vous pourquoi cette harmonie demeurerait éternelle ? C'est parce que nombre d'hommes auront laisser leur vie, parce que nombre d'esprits auront été torturés, et tout cela seulement pour elle. Personne ne voudrait voir ce massacre reprendre. Oui, lorsque le sang coulera, lorsque a guerre éclatera, alors la paix suivra, et la vie survivra. Toutes mes réflexions et méditations ne m'avaient permis de déduire qu'une seule vérité: L'homme est, et restera, une créature cruelle et malsaine, tant qu'elle n'aura pas compris le sens du mot existence, et par dessus tout du pacifisme. Depuis des millénaires, les guerres ravagent ce monde. Depuis des millénaires, les humains sont en conflits, bien trop souvent pour des raisons dénuées de sens, ayant seulement la conviction d'accomplir quelque chose d'utile pour leur civilisation, devenue un regroupement d'animaux enragés, prêt à tous pour l'argent, la gloire, la légende et la domination. Voilà pourquoi être cruel n'était un problème pour moi. Voilà pourquoi ma haine m'emportait vers les sombres horizons du meurtre et de la guerre, de la violence et de a destruction. Pour tout avouer, si personne ne se bougeait, j'étais persuadé que rien ne changerait, si ce n'est les cœurs qui s'assombrissent. Dans les flammes destructrices de la folie démesurée de l'Akatsuki, les villages se verraient renversés, plongeant ainsi dans le chaos et l'obscurité, dans le cauchemar du désespoir, accumulant les victimes, les cadavres, jusqu'à regretter et promettre de changer les règles à l'aide du peuple, pour enfin sortir de cette ère d'éradication du mal. Trop de tyrans demeuraient, trop de lois bafouaient l'honneur des shinobi, trop de sang apportait la brume de guerre, pour noircir les âmes les plus bonnes. J'allais nettoyer cette pourriture, la brûler, la tuer. j'y mettrais toute mes force, j'y mettrais toute ma volonté, mais je réduirais les villages en cendres jusqu'au dernier si le système shinobi ne changeait pas. Bien que mes buts soient plus développés, j'avais cette idée en tête depuis que mon âge m'avais permis d'être assez mature pour réfléchir et me forger un avis et un jugement.

Aujourd'hui était un grand jour: Ayant maintenant intégré l'Akatsuki, j'allais rencontrer mon ou ma futur partenaire. Je savais déjà ce que je voulais: faire connaissance et me battre avec lui, pour que chacun connaisse les points faibles et les points forts de l'autre. Être un membre de l'organisation de la lune rouge signifiait risquait sa vie, et sans un coéquipier en qui l'on peut avoir confiance en mission, c'est la mort assurée lors des actions en binôme. Avoir rejoins Madara Uchiha était quelque chose de très bon pour moi: e ne comptais pas le trahir, et ne me croyais sûrement pas assez puissant pour le vaincre. mais en revanche, si je faisais désormais partit de ce groupuscule, ce n'était pas seulement pour l'aider, mais aussi pour qu'il m'aide en échange: grâce à lui, j'allais pouvoir détruire et mettre à jour nom de mes pans qui ne lui causeraient sûrement aucun tord ... Assis devant une ruine où s'entassaient les macchabées, je contemplais le travail de l'homme et du temps sur ce village. La destruction m'inspirait, elle m'habitait. L'art n'était qu'une pincée de folie mélangée à de la créativité improvisée ou bien réfléchie. J'étais véritablement enthousiaste, à l'idée de pouvoir enfin mettre à l'œuvre mes projets. je n'étais pas un maniaque complètement cinglé aspirant à la haine mondiale et au meurtre, non j'étais simplement aveuglé par un désir de paix, et c'est en essayant que l'on arrive à ses buts. S'il fallait l'imposer à l'homme, alors il se verrait obligé de l'accepter, quelques soit les moyens utilisés.

.:I Etrange duo... I:.

"Femme qui dit tout à son mari pleure plus souvent qu'elle ne rit."

[hrpg] Franchement, désolée pour la quantité merdique mais là… aucune inspi avec ce que tu as posté mdrr

Fichu Kabuto… Déjà qu’il n’était pas top physiquement, voila qu’il m’apprenait que j’avais un binôme… N’avait-il donc pas compris que la vie avec Kaleïs était déjà suffisamment enmerdante ? Et dire qu’il maitrisait les serpents… Ces animaux divins n’étaient pas gâtés avec un tel maitre… Néanmoins il était utile pour la réussite de notre projet de destruction, je ne pouvais pas le nier malgré ma fierté légendaire.
Après l’avoir quitté en ayant écopé d’une remontrance qui n’avait pas été à la hauteur de mes attentes à propos de sa réaction, j’avais délicatement enveloppé le phallus de l’épéiste dans une petite boite en métal puis l’avais enterré au pied d’un arbre mort où se trouvait déjà celui d’un ancien ninja de Kumo. Quel magnifique paysage… Effectuant de même avec l’organe du deuxième ninja (il faut bien commencer une collection…), j’avais estimé mon travail satisfaisant et ce fut le sourire aux lèvres que je quittai les ruines de cette taverne afin de déambuler le temps que l’heure me séparant du rendez-vous ne soit atteinte…
Pour vous faire un récapitulatif de l’action précédente, je m’étais retrouvée avec l’allié principal de Madara et il avait emporté les corps des deux victimes après que je les eus mutilé. Me baladant donc avec l’épée magique de l’épeiste désormais mort, elle flottait derrière moi, enroulée dans une fine langue de métal. Kabuto m’avait demandé de la détruire… C’était dommage, elle était vraiment belle. Privée de son maitre, ce n’était désormais plus qu’un bout de métal facilement cassable…
Me tournant vers une femme qui fixait les corps avec stupeur, je dirigeai la lame vers elle et la décapitai d’un trait. Sa tête heurtant le sol dans un bruit mélodieux, j’envoyai des compliments sincères à celui qui avait forgé cette arme puis effectuai une pression avec mon kinton… Jusqu’à ce qu’elle se brise. Des éclats volant dans tous les sens, certains me frôlèrent sans me toucher et je laissai échapper un gloussement amusé.

« Tu devrais t’occuper à faire des choses plus intéressantes que flâner le nez en l’air…
Ferme-la.
Mais… »

Déambulant sans fin parmi le village, l’odeur du sang m’accompagnant agréablement, des cadavres de citoyens pris dans le combat malgré eux pullulaient comme des rats et cette vision d’horreur ne me faisait que plaisir d’avantage.
Après avoir mutilé quelques commerçants qui n’avaient pas vu en moi le danger que je représentais, je jetai les morceaux de leur corps par terre, indignes d’être enterré là où j’avais placé ceux de mes précédentes véritables victimes. Perdue dans mes pensées, ma nature froide et cruelle repoussée momentanément, je me demandais quel type de protagoniste j’allais avoir comme partenaire. Partenaire… Un mot qui ne me plaisait pas d’emblé. Il allait falloir s’associer avec lui, lui montrer mes points forts comme faibles… C’était comme me mettre à nue sans enlever mes habits. Beaucoup moins excitant, si vous voulez mon avis…
Lorsque l’heure arriva, je revins sur mes pas, constatant que rien n’avait été nettoyé puis une silhouette apparu, assise en face des ruines de l’auberge. Grande, enfin de ma taille, les cheveux courts et un visage plutôt angélique malgré une expression assez noire, c’était un homme pour le moins banal. Il était vrai que Kaleïs et moi étions les seules femmes de l’akatsuki… Tant pis.

« Il est comment ?
Commun.
Pas plus ?
Un homme reste un homme… »

M’approchant de lui de ma démarche fluide et souple, il m’entendit arriver puisque je ne cherchais pas à me cacher et je poussai du pied un cadavre qui m’empêchait de m’approcher un peu plus de lui. M’arrêtant à moins d’un mètre, le surplombant puisqu’il était assis, je le dévisageai froidement en me demandant quel goût pouvait bien avoir son sang. Un gout métallique bien prononcé… Comme celui de tous les ninjas. Au vue de son odeur, je rajouterai éventuellement une note boisée… Mais tout cela n’était que suppositions, je vous dirai la vérité une autre fois, peut-être…
Un sourire glacial étirant mon visage une fraction de seconde, je me réaffichai un air impassible, prenant la alors parole.

Brunhield… La nouvelle recrue de Madara… Murmurais-je, légèrement sarcastique. J’ai l’impression que toi et moi allons faire un petit bout de chemin ensemble…

**Messages :** 7 **Date d'inscription :** 23/08/2011 Fiche du Shinobi Ryos: 400

l'amour, la passion, la vie et la paix n'étaient plus désormais que les vestiges d'une ère que l'on croyait éternelle.

Perdu dans mes songes et mes idéaux de destruction, fasciné par les ruines de ce village, qui autrefois fut peuplé, actif et vivant, j'avais réellement une joie incomparable. Tout avançait parfaitement et les pions se plaçaient comme prévu. mais ce qu'il y avais de bien, c'est que je n'avais besoin d'aucun vrai alliés. je n'en voulais pas. Pour tout vous dire, le mieux si l'on souhaite réussir, n'est pas d'accorder la confiance, car elle est trop facilement trahit. Non, le mieux, c'est de ne croire personne et d'avancer en solitaire sans rien avouer de vos réelles motivations et de vos projets. Ainsi, si vous avez l'intelligence et le savoir manipulateur, vous pourrez arriver à vos fin sans une seule fois vous dévoiler. c'est pourquoi je n'aurais que des pions, ou bien des alliés qui partagent les même avis que moi. Puis, j'entendis arriver mon partenaire. ne me retournant pas, je lâchais un crachat au sol. Je m'amusais à me demander s'il s'agissait d'un homme ou d'une femme, d'un travelo ou d'une femme cougar. D'un drogué, d'un alcoolique ou d'un dépressif, d'une horrible créature repoussante et dégueulasse. tout ce qui étais sûr, c'est que je ne laisserais pas n'importe qui être mon "partenaire". En tournant la tête de quelques centimètre, le visage impassible, je put m'apercevoir qu'il ne s'agissait pas d'un mais d'une partenaire. Une femme aux allures de princesses. Derrière sa petite gueule d'ange se cachait sûrement une psychopathe aux humeurs meurtrière. Je n'espérait qu'une chose, c'est q'elle soit puissante et pas trop conne. Mais je voyais bien au-delà de l'enveloppe charnelle et de la pensée simpliste de l'être humain: je pouvais voir en elle quelqu'un de cruel et de sadique, rien que par son geste envers le cadavre qui lui barrait la route: un coup de pied pour le dégager, donc un non respect de l'homme mort, probablement dans la souffrance. je me contrefoutais de ce respect justement, je ne faisais qu'analyser. Elle était sûrement bien plus résistante et malsaine que la plupart des femmes de nos jour. D'emblée, je m'aperçut que ce duo allait finalement s'avérer intéressant si mon analyse était fondée.

Brunhield… La nouvelle recrue de Madara… Murmura-t-ellle, légèrement sarcastique. J’ai l’impression que toi et moi allons faire un petit bout de chemin ensemble…

Son ton me déplaisait déjà. Si elle voulait avoir la chance de continuer à vivre, elle devrait me montrer un peu plus de respect. Voilà pourquoi je détestais ces imbéciles de membres de l'Akatsuki, toujours à trop sous estimer leurs adversaires. J'avais une envie envahissante de détruire. De prendre sa tête entre mes mains et de la broyer avec force et plaisir. Pour que ce jolie petit minois soit victime de mon art. Pour qu'il ne soit plus parfait et lisse, mais déformé de manière cruelle et barbare. Je haïssais la génération actuelle de l'akatsuki. A cette allure, la guerre serait vite terminée. En espérant qu'ils soient réellement puissants et prêt à tout pour faire régner une ère de souffrance digne de ce nom, avant que la paix illusoire ne s'empare de ce monde. car c'était cela, le but final, une fausse paix, mais durable. bien que je ne sois pas d'accord avec cette idée, je ne voulais qu'étancher ma soif de destruction. je voulais vivre pleinement, de la seule manière qui m'étais désormais autorisée: par le meurtre et la recherche d'un idéal, puis sa réalisation. Car j'avais été rejeté de tout système pour les avoir critiqués, car j'avais été considéré comme un ennemi des nations par mon manque de confiance en elles. Le regard brillant à la lueur du soleil, il ne reflétait que mon envie irrésistible de violence et de meurtre.

"génial, une meuf. J'espère que tu vas pas faire ta mijorette et que t'es puissante. On risquerait de pas s'entendre sinon. mais mieux vaut faire un effort, après tout on en a pour un moment à se supporter. Tant que tu me parles pas avec ton petit air hautain de gamine inconsciente, ça devrait le faire."

J'estimais lui avoir parler gentiment. J'allais pas me laisser marcher sur les couilles par une nana psychopathe. Après tout, j'avais ma fierté.

wesheuuu j'vais te défoncer ta chetron, fils de tep* !

:mdr:

E.C mon bichon <3