Hatoma se dirigea vers le bureau de la mizukage pour y faire sont rapport, arrivée devant la porte, il toqua, mais cette fois la voix chaleureuse de ce matin disparut pour laisser place à une voix ou on pouvait distinguer un soupçon d'ennui et de tristesse. Hatoma rentra et vit la godaime mizukage derrière son bureau la même position que ce matin, sauf que cette fois elle tenait sa tête grâce à sa main le coude poser sur la table. Hatoma comprit tout de suite que les rumeurs disant que godaime n'avait pas bougé de son bureau depuis des jours, pour cause d'énorme travaille révélèrent vraie. Hatoma fit donc la révérence puis déposa son rapport avant de se retourner, mais il ne sait pourquoi il avait envie de dire quelques choses, Il s'arrêta donc sur le pas de la porte.

Hatoma : Kiri ne va pas disparaître si vous disparaissait un après-midi.

C'est tout ce qu'il dit avant de franchir la porte et de se diriger vers chez lui, arriver chez lui il s'équipa pour demander sa mission suivante, mais au moment de franchir sa porte il se rappela les mots qu'il avait prononcé plus tôt. Il s'allongea donc sur son lit et se demanda depuis quand lui n'avait pas pris un moment de repos, depuis trop longtemps, il décida donc de visiter kiri village qu'il avait retrouvé que depuis peu. Il vit des gamins jouer au ballon, d'autre à cache-cache, des personnes discuter simplement entre elle en plein milieu de la rue, d'autre se disputer. Des scènes totalement normales pour une communautés, plus aucun signe de guerre ou d'autre chose qui fit la réputation de kiri. Peut-être qu'il pourrait y rester quelque temps dans ce village tout compte fait se dit Hatoma, après c'est quelques pensées, il vit des dizaines de ninja courir de droite à gauche comme s'il cherchait quelque chose. L'un d'eux s'approcha de Hatoma.

Ninja : Vous n'auriez pas vu godaime Mizukage-sama par hasard? elle a disparu de son bureau sans dire un mot.

Hatoma : Non je ne l'ai pas vu, maintenant allez-vous en.

Ninja : tssss très bien si vous la voyez faite nous signe.

Puis le ninja s'en alla continuant c'est recherche, Hatoma par-contre lui continue de se promener en regardant à terre. Quand au bout d'une dizaine de minutes de marcher il vit une ombre à ces pieds, il releva donc la tête et vit la mizukage assise sur une marche d'escalier regardant au sol et souriant. Quand d'un coup elle leva la tête, normal qu'un ninja de son rang repère Hatoma aussi vite. Même s'il elle aurait dû le remarquer plus tôt elle devait être absorbée par c'est pensée et puis il n'y a aucune chance qu'un ninja ennemie viennent l'attaquer en plein milieu de la journée et qui plus est dans le village en plein centre-ville. Quand la mizukage remarqua la présence de Hatoma elle se leva prêt à partir, Hatoma fît alors demi-tour et rebroussa chemin. Avant de continuer à marcher il laissa échapper quelques mots.

Hatoma : ne bougez pas, ne vous en fait pas je ne vous ait pas vu.


[A vous mizukage-sama]

Quelques mots vinrent tinter les oreilles de Hatoma, des mots prononcer par la mizukage en personne pour destinataire personne d’autre que le jeune chuunin.

Mizukage : Je ne doute pas une seconde de ton talent au silence.

Néanmoins, il continua sa route mais ces pas se fessait plus lourd, plus lent comme ci inconsciemment il ne voulait plus avancer, mais rester sur place. C’est alors qu’il entendue la mizukage faire quelques pas vers lui combien ? Il ne le savait exactement, c’est alors qu’une fois plus sensuelle que celle entendue plus tôt s’éleva.

Godaime : Néanmoins, un peu de compagnie ne me ferait pas de mal, avant de retourner dans cette petite pièce qu’est mon bureau.

il s’arrêta bien sûr même s’il n’apprécier guère la compagnie, c’était tout de même une invitation du ninja le plus puissant du village, il ne pouvait refuser son invitation et qui sait sur quoi cette rencontre allez déboucher. Une chance comme celle-là ne se présente pas tous les jours, le jeune ninja lui qui cherchez un moyen de devenir plus puissant, il l’avait peut-être trouvé. Mais oserais t’il demander ce qu’il a en tête ? Sûrement pas avant la fin de la rencontre, ne voulant pas laisser la mizukage sans réponse il répondit après quelques secondes de silence.

Hatoma : Je ne suis pas douer pour ce genre de truc donc on va faire simple, vous dégager une aura différente des autres et je ne parle pas de votre aura sensuelle qui elle se dégage pratiquement tout le temps, mais d’une aura de grande puissance et c’est ça qui me plaît.

Voici les quelques mots que Hatoma chuunin de Kiri osa placer à l’encontre de son supérieur le plus haut gradé, il espérés tout de même que c’est mots ne fut pas interprétés dans un mauvais sens, n’ayant pas l’habitude de peser c’est mots mais de dire tout ce qu’il pense. C’est alors qu’il décida de se retourner pour faire face à la déesse de Kiri, quand il se retourna il remarqua que la mizukage était très près de lui à quelques centimètres. Voyant son visage d’aussi près le jeune homme fut quelque peu gêner par cette courte distance, il recula donc de deux pas et baissa quelque peu la tête. Cela fessait longtemps qu’il n’avait pas était aussi près d’une vraie femme, surtout qu’il ne trouvait pas la mizukage moche, loin de dire qu’il l’aimait non plus, ce sentiment là Hatoma l’avait oublié.

Après avoir reculé il regarda tout de même La jeune femme dans les yeux ne voulant pas qu’elle pense qu’il la fuit ou autre, c’est alors qu’il se regardait maintenant tous les deux dans les yeux et pour une fois le regard d’Hatoma ne se fit pas noir de haine, mais tout simplement normal. Peut-être que personne ne pouvait pas remarquer la différence mais ce regard-là était rare pour lui, cela devait venir de l’aura de sécurités et de joie que dégager la godaime. Il laissa donc échapper un léger sourire chose rare pour le jeune shinobi de plus que se sourire n’était pas noir comme celui qu’il fessait devant c’est ennemies, mais le silence était trop long et insupportable Hatoma laissa alors échapper quelques dernier mot pour laisser la parole à la déesse de Kiri , mais aussi pour essayer de lui faire comprendre c’est intention il n’étais pas du genre à demander de l’aide en quelque sorte.

Hatoma : J’aurais aimait avoir un sensei comme vous, vous semblez tellement calme au premier abord mais j’ai tout de suite remarqué votre grande puissance.

Après avoir prononcé c’est quelques mots Hatoma commencer à les regretter comment pouvait-il oser demander ça à la mizukage, avec de la chance elle ne remarquerait pas que ceci fut une demande mais tout simplement la parole d’un chuunin.

Cette question était maintenant poser qu’elle va donc être la réponse de la puissante femme qui se tient face Hatoma, elle semblait le regarder et l’étudier comme si elle cherchez dans quel but voulait-il cette puissance, ce qui était tout à fait normal. Le jeune chuunin lui-même se poser des questions, que ferait-il si une personne de l’akatsuki ou un nunkenin venait lui proposer une puissance cent fois supérieur ? Sûrement accepterait-il, mais être en présence de cette femme le fessait réfléchir. Cette femme qu'il ne connaissait que très peu avait quelque chose c’est comme si à chaque parole et à chaque geste elle parlait sans vouloir le faire, tout le monde ne pouvait pas voir ça mais Hatoma a toujours était douer pour comprendre les gens par leur simple geste, leur regard ou encore leur parole caché. Pourquoi resterait-il à Kiri toute façon ? Il n’avait aucune attache, mais rejoindre les criminels serait contraire à la façon de procéder de ce dernier. C’est pour ça qu'il trouva la solution mais décida de n’en parlait que à la fin, il devait d’abord entendre la réponse de la mizukage, au pire des cas ce serait un refus rien de trop grave et totalement compréhensible, c’est alors que la puissante kunoichi s’approcha du jeune ninja avant d’élevé sa douce voix.

Mizukage-sama : J’aspire à pouvoir passer plus de temps avec mes ninjas, j’estime que c’est important. Seuls les despotes s’enferment dans leur bureau pour diriger froidement.

C’est à ce moment-là qu’un court instant le regarde de la godaime devint froid, seulement un court instant, ceci était tout à fait intéressant pour Hatoma ainsi elle aimer tant que ça son rôle, c’est dans un instant comme celui-là qu’on peut savoir si un kage serait toujours fidèle à son village ou s’il le trahirait. Cette femme qu’il avait en face de lui ne trahirait jamais son village c’était une chose sûr elle se sacrifierait sans hésitation pour ce dernier, voici tout ce qu’Hatoma pu lire dans ce regarde qui ne duras qu’un court instant. Après ce court instant la kage redevint normal enjoué, comme-ci rien ne s’était passé, l’orage se fessait de plus en plus, elle éleva donc à nouveau sa voix.

Mizukage-sama : Comme tu avais si bien raison, que Kiri ne s’effondra pas si je sors dans les rues, je crois que si je retente l’expérience plus souvent, qu’il soit possible que je puisse t’aider dans ton apprentissage quelques fois, si bien entendu, tu étais sérieux avec cette demande.

Elle doutait donc bel et bien d’Hatoma, ceci dit sa demande était poser d’une façon bien maladroite sûrement la mizukage ne voulait pas lui dire qu’il serait son élève avant d’être sûr qu’il le veuille vraiment, mais le voulait-il vraiment ? Maintenant qu’il avait vraiment l’occasion de devenir bien plus fort il hésita, que trouverait-il derrière cette porte qu’est la puissance ? La haine ? Rien ? Ou perdrait-il la raison en s’abandonnant à une puissance dominatrice et plus sombre ? C’est en regardant Mei terumi qu’il se rendit compte qu’il n’avait pas à s’en soucier, si elle accepter de l’aider dans son apprentissage elle accepter aussi de l’aider si les choses tourner mal, ce qui arriverait sûrement d’après certains dire l’akatsuki commença à bouger. Bien sûr ce n’était que des rumeurs de rue personne ne pouvait les vérifier à la racine même étant donné que l’akatsuki reste introuvable. La pluie commença à tomber, la godaime reçu une goute sur la visage avant de lever les yeux au ciel, puis de regardais à nouveau Hatoma.

Mizukage-sama : Avant d’être complètement trempés, nous devrions rentrer. Néanmoins, je suis curieuse de connaître ton avis sur ce que j’ai dit précédemment.

Le jeune ninja s’approcha alors un peu de godaime, il était maintenant un peu plus proche, puis sans plus attendre Hatoma laissa échapper quelques mots.

Hatoma : Ma demande était des plus sérieuse, ce serait un honneur de se faire aider par une personne aussi puissante, mais ne vous inquiétez pas pour le moment je n’ai aucune raison de trahir ce village.

Pourquoi donc disait-il ça ? C’est paroles semblait plus louche qu’autre chose, mais il espérait que la mizukage comprendrait, c’était sa façon à lui de dire qu’il serait fidèle à Kiri en tout cas pour le moment, comme personne ne peut prédire ce qui se passeras plus tard. La pluie se fessait maintenant plus forte et la Kunoichi commencer à être trempé, Hatoma lui aussi, il montra alors un bâtiment du doigt, en effet par un pur hasard ils se trouvèrent devant l’habitation du jeune shinobi.


Hatoma : J’habite juste la, rentrons nous sécher, le temps d’arriver à votre bureau vous pourriez tomber malade, laisser Kiri sans défense à cause d’un simple rhume serait ironique, même si je doute que cela vous arrête. Nous pourrions manger un morceau en attendant que la pluie ne cesse, ce genre de pluie ne dur jamais longtemps.

Une telle invitation envers la mizukage pouvait être très mal prit, mais comme à son habitude Hatoma ne pesa pas c’est mots, bien sûr il n’avait aucune arrière penser il fallait prendre son invitation comme elle était et puis il était déjà rare qu'il sympathise un tant soit peu avec une personne alors de là à l’inviter à manger c’était du nouveau. Même s’il se sentait ridicule d’avoir émis une telle invitation, alors il se mit à reculer de quelques pas de la mizukage avant de s’excuser et de partir vers chez lui.

L’orage grondait et quelques éclairs commençaient à pourfendre le ciel nuageux. Mei espérait que les marins et les shinobis en mission sur la mer étaient tous rentrés. Vu la puissance des vents, nul doute que cette tempête serait violente. Le temps commençait à manquer pour poursuivre la petite discussion que la Mizukage entretenait avec l’un de ses chunins, Amatera Hatoma. Ce dernier avait émit la demande d’être en quelque sorte l’élève de la Godaime. Cela l’avait un peu surprise, mais en même temps, l’avait rassuré un peu. Si elle passait plus de temps avec ce jeune adulte, peut-être pourrait-elle changer ne serait-ce qu’un peu son cœur. N’était-ce pas là ce qu’elle souhaitait par-dessus tout ? Aider ses shinobis à choisir la bonne voie ? Alors elle avait répondu par l’affirmative, lui mentionnant tout de même qu’il ne serait pas son élève à proprement parler, mais qu’elle était bien disposée à l’aider dans ses apprentissages. La réponse sembla le satisfaire. Il lui répondit qu’il était bien sérieux et que se serait un honneur que de l’avoir comme professeur. À ça, la déesse des mers afficha un doux sourire. Peut-être était-elle dans la bonne voie avec lui. Elle l’espérait grandement du moins.

Par contre, lorsque Hatoma poursuivit, l’expression qu’arborait jusque là Mei changea un peu. Pourquoi diable lui avait-il dit ça ? Pour la rassurer sur ses intentions ? Carrément lui avouer qu’il y avait pensé ? Faudrait qu’elle le surveille de plus près celui-là… Qu’il en parle implique nécessairement que sa quête de puissance était ce qu’il lui importait le plus dans sa vie et que pour ça, il était prêt à tout, voilà ce qu’en déduisit la célibataire de la brume. Peut-être devrait-elle le placer sous l’autorité d’un junin expérimenté et dont elle ne doute pas une seule seconde des allégeances qu’il entretient. Un junin puissant qui serait là pour le guider sur un autre chemin, si cela est possible. Elle avait beau vouloir passer plus de temps en la compagnie de ses ninjas, elle ne devait pas mettre ses responsabilités de Kage de côté pour ça. Le village entier comptait sur elle, ses décisions étaient toutes importantes pour l’avenir de Kirigakure. Une seule mauvaise et cela pourrait être fatal… Là, que devait-elle faire ? « Mais ne vous inquiétez pas pour le moment, je n’ai aucune raison de trahir ce village. » Alors s’il en trouve une, le fera-t-il ? Grandement inquiétant. Cependant, pour l’instant, valait mieux passer la remarque et s’occuper de sa la tête reposée, dans son bureau. C’était le mieux à faire. Il devait percevoir le léger malaise que sa remarque installa, car Hatoma pointa l’habitation qui se trouvait juste devant eux, affirmant qu’il s’agissait de sa maison. Il invita alors la Mizukage à y entrer pour se sécher un peu et y manger un truc. Bien évidemment, ce n’était pas la première invitation que la jeune femme recevait, loin de là. Toutefois, c’était bien le premier à n’avoir aucune arrière pensée. Sincèrement, la puissante kuoichi ne sut trop comment réagir sur le coup, surtout à cause de ce que le chunin avait précédemment dit. Accepter l’offre serait peut-être un peu déplacé, mais la refuser pourrait lui faire changer d’avis quant au fait de l’avoir comme professeur à temps partiel…

Mei dut se décider rapidement, car le jeune shinobi sembla croire que sa demande était déplacée. Il recula de quelques pas puis s’excusa brièvement, avant de partir en direction de sa maison. Finir la discussion ainsi était trop bizarre aux yeux de l’adoratrice de l’océan, c’est pourquoi sa doucereuse voix s’éleva. « Hatoma », dit-elle simplement, avec sa façon caractéristique de prononcer les prénoms des gens à qui elle s’adressait. La sensualité était forte dans son intonation, c’était toujours ainsi quand elle nommait quelqu’un, à croire que c'était toujours dit avec amour. Attendant de voir sa réaction, elle poursuivit ensuite, ayant peur qu’il ne continue son chemin.


-Je dois vraiment retourner à mon bureau. Dès que je me serai libérée un peu de mes obligations et que le temps sera venu, tu auras ma petite hirondelle messagère à ta fenêtre. L’heure sera donc à l’entrainement, finit-elle, souriante.

L’aura de bonheur que dégageait Mei prenant toute la place. Malgré la pluie, les éclairs et le tonnerre, elle était heureuse, heureuse de vivre dans ce village si souvent piétiné par les autres. Elle se l’était promis, Kirigakure brillerait de milles feux, un peu comme l’éclat de la lune sur l’eau. Cette nouvelle ère, elle l’avait déjà un peu instaurée, mais elle continuerait. Les temps sombres, la Mizukage était prête à les affronter, et son beau village n’en ressortirait que plus grand. Pour cela, il lui fallait l’appui de tous ses shinobis et kunoichi, peut-être même l’appui des autres grandes nations, mais elle y arriverait. Estimant que la discussion était terminée, la Godaime effectua lentement, avec sensualité de courts mudras, réalisant la technique du Shunshin No Jutsu pour se rendre directement chez elle. Elle disparut donc dans un tourbillon de fines gouttelettes d'eau. Une fois arrivée, elle verrouilla la porte, puis la jeune Kage se déshabilla doucement, pensant à tous les évènements de la journée. Elle avait beaucoup de préparatifs à faire pour arriver à accomplir tous ses plans, beaucoup de gens à mobiliser. Néanmoins, pour l’heure, elle voulait prendre un bon bain chaud et relaxer un peu. La reprise de ses responsabilités pouvait attendre encore une trentaine de minutes.

[HRP=Tu peux conclure de ton côté, ou laisser ainsi, à ta guise =)]