Kigen No Setsuwa
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Kigen No Setsuwa
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« LE DÉBUT DE L'HISTOIRE »
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Présentation de Osaki
Je m'appelle Tenryū Kaminari et je suis un ninja.
Nouveau Membre de KNS
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2
Date d'inscription
:
29/05/2011
Sujet: Présentation de Osaki
Dim 29 Mai - 18:21
Mon Shinobi
I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
— N0M : Aucun
— PRÉN0M(S) : Osaki
— SEXE :
♂
— ÂGE : 26 ans
— Nindo :Aucun pour l'instant
— VILLAGE DÉSIRÉ :Kiri
— GRADE VOULU :A vous de choisir le max de ma présentation.
— AUTRE / PARTICULARITÉ :
(Facultatif)
Description physique
I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
— DESCRIPTION PHYSIQUE : Décrire cette homme est une chose complexe, car chaque visage humain est différent selon la personne qui le regarde. Mais voilà ce à quoi il ressemble pour de vrai. Osaki est un homme de grande taille, mesurant à peu près 1,90 m, pour un pods raisonnable de 60 kg. Il peut paraître assez faible au premier regard, mais un examen poussé montre la puissance qui sommeille en lui. Commençons par son visage. Aux traits plutôt mince mais élégant, il reste toujours figé, n'affichant aucune expression si ce n'est de la répulsion et parfois de la pitié, pour les être inférieurs. La haine qui repose en lui ne paraît presque jamais, mais on raconte que ses prunelles noir de jais deviendraient rouge sang lorsque la colère s'empare de lui. Ce n'est qu'une supersition, car personne n'est encore vivant pour en témoigner. Cela prouve bien que soit cette information est fausse, soit qu'il ne laisse jamais de survivant après avoir laissé le démon emporter.
Son nez, aquilin et légèrement pointu, ainsi que sa bouche, toujours fermement close, sauf lorsqu'elle éructe la peine de mort d'un adversaire, ne porte aucun de ses rides qui se forment après maintes sourire. Toujours calme, toujours froid, parfois cruel dans sa froide tranquilité. Ses cheveux, mi long et noir comme ses pupilles, sont coiffés de manière à laisser les yeux librent de voir, ainsi que les oreilles non entravées.
Maintenant, parlons de son corps de manière général. Plutôt fort, il cache ses muscles sous son épais manteau bleu, donnant ainsi un effet de surprise. Qui se douterait que sous ce frêle homme se cache un guerrier sans pitié ? Sa peau, assez claire après ses longues années de vie dans la neige, est assez peu sensible au froid, immunité qu'il a obtenu dans les montagnes, et résistant au chaud, son affinité naturelle étant le Katon. D'ailleurs, parlons quelque peu de ses flammes. Lorsqu'il se bat normalement, il les matérialise comme la plupart des gens, en les crachant. Mais il peut aussi en produire avec ses gants. Formé dans un cuir d'Ours Polaire, une espèce animale très dangereuse vivant dans le Grand Nord, ils sont immaculés comme le pelage de l'animal dont ils viennent. Sur chacun d'entre eux, un symbole de concentration de chakra complexe est inscrit avec du sang. Deux cercles au même centre, le second plus petit que le premier, dans lequel deux triangles sont dessinés. Leurs siommets se croisent, formant un losange rougeâtre dans lequel un troisième triangle, aux dimensions plus petites que les deux autres et pointé vers les doigts, est dessiné. Juste devant ce symbole représentant la diversité des flammes est inscrit une petite flammèche, terminé par trois pointes de flammes et dans lequel on peut voir un cercle parfaitement rond. Ceci représente la puissance des flammes générées par cet objet. A l'opposé de cet étrange symbole est dessiné une salamandre, animal mythologique pouvant vivre dans les brasiers les plus intenses et les plus ardents. Il représente l'immunité naturel de son porteur aux flammes.
En claquant des doigts, ils produisent une micro étincelle, qui s'embrase alors pour faire une technique Katon différente selon le chakra insufflé par Osaki. Ainsi, il peut surprendre son adversaire, mimant une attaque crachée alors que l'offensive vient de plus bas. Mais ce n'est là qu'un des habits que porte Osaki. La première chose que l'on remarque chez lui, c'est ce grand manteau bleu richement décoré, complété par son pantalon un peu trop grand de la même couleur, sans variation de teinte, même subtile. Mais parlons d'abord de ce grand manteau. Trop grand pour son porteur, il lui arrive aux tibia, masquant une grande partie de son corps. Sur ces épaules sont brodées des bordures dorées, perpendiculaires au col retroussé bleu à bordure blanche de son grand habit. Des plis bardent ses manches, aux bout retroussé de la même couleur que le col. Son manteau semble être fait de parties de tissus liées entre elle, chacune différenciée de celle d'après par une bordure d'un blanc délavé. Du côté droit, une autre pièce de tissu est cousu pour un moyen purement esthétique. En effet, il subit un jour une attaque qui manqua de lui arracher le bras droit, perforant "seulement" un gros trou dans son épaule, et détruisant une grande partie de l'habit majestueux. Afin de bien maintenir ce rapièçage, deux boutons d'or ont été posé, maintenant les extrémités. Une ceinture de cuir noir au milieu argenté, possédant un trou à chaque extrémité pour une raison inconnue, enserre sa taille, maintenant son pantalon trop grand en place. En dessous de cette ceinture, les bords de son habit se sépare en deux, laissant ainsi leur liberté de mouvement à ses jambes. Afin de renforcer cette partie de son accoutrement, deux plaques de métal rigide ont été posée sur les rebords blancs du manteau, le protégeant des agressions extérieures. De nombreux plis se forment à la jonction entre ses bottes noirs et luisantes. et son pantalon, cause de la taille trop élevée de son habit. Un marteau géant répondant au nom de Sukuinush, le Rédempteur, est accroché dans son dos, prêt à apporter la Rédemption aux impurs. lorsqu'il prend une vie d'impur, il luit faiblement d'un halo doré et pâle, indiquant que l'âme à été envoyée directement aux Portes du Jugement.
Mais tout cet attirail peut paraître totalement incompatible avec l'Inquisiteur, qui n'accorde de valeur qu'aux objets fonctionnels. Ce manteau bien trop grand, ce pantalon aux même dimensions, tout cela n'est porté par Osaki que pour porter un de ses points forts, peu connu du commun des mortels. Une armure dorée à la solidité remarquable amplifiée par une concentration de chakra. Capable d'encaisser les pires dommages tout en réduisant leurs effets, c'est un objet d'une valeure inestimable. Un grand I, symbole de l'Inquisition, est présent sur chacune des plaques recouvrant ses jambes, une tête de mort grimaçante en son milieu, représentant la rédemption des prêcheurs. Chaque tête de mort de l'armure a été prélevée à un hérétique qui se confessa avant de recevoir le jugement divin de la part d'Osaki. Celle de sa jambe droite appartenait à Shozaki, un Nukenin célèbre pour ses nombreux assassinats. Mais sa réputation disparut le jour où il croisa la route d'Osaki. Tentant de le tuer pour satisfaire un vile besoin de sang, il ne croisa que la mort et la défaite. Alors que son esprit attardé s'élevait, trop tard malheureusement, il perçut la beauté de l'Empereur Suprême, et prononça les Paroles de la Rédemption alors que la mort fondait sur lui comme un rapace. Le crâne de sa jambe gauche appartenait à un autre Nukenin, Osha le Redouté. Dirigeant une organisation aux proportions proprement gigantesques, il se croyait au dessus du Jugement Divin, à tort. Tous furent tué dans la douleur, mais alors qu'encore une fois le spectre de la mort flottait au dessus de sa tête, il se donna corps et âme à l'Empereur, trop tard malheureusement. Quand au dernier crâne, il appartenait à un ninja de Kumo, son village natal. Ce ninja était surnommé "Le Géant" à cause d sa taille proprement gigantesque. Plus de 2,10 m, il faisait régner un règne de terreur, raquettant les Genins et tuant ceux s'opposant à lui. Osaki avait été envoyé par le village pour enquêter sur lui, et l'arrêter. Il le tua tout simplement, récitant un nouveau vers des Psaumes de la Douleur à chaque coup qu'il lui portait. Ce fut lorsque le dernier mot fut prononcé que "Le Géant" tomba au sol, les yeux baignés de larmes, alors que la Rédemption s'offrait à lui. Son crâne fut inséré au centre de son armure dorée, jute au dessus du pendentif en forme de sablier représentant le peu de temps qu'il reste à vivre aux prêcheurs. Tout cet attirail macabre se termine par une cape rouge, sur laquelle est inscrit le Récital de la Juste Vengeance. Voilà pour ce qui est de la description physique de cet être hors du commun.
Description Mentale
I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
— DESCRIPTION MENTALE : Le mental de l'envoyé de l'Empereur pour répandre sa parole est réellement difficile à décrire, étant d'une profondeur abyssale dissimulée par son caractère apparent. Cette partie sera donc en deux morceaux, d'abord une présentation de l'homme qu'il laisse paraître être, puis du vrai homme qu'il était, et reste enfoui au plus profond de lui.
Lorsqu'on le voit et qu'on ose lui parler, on se heurte à un coeur froid comme la neige des plus hauts pics d'Iwa. Ses parole sont claquantes, brutes, parfois choquantes et toujours direct. Il n'utilise pas d'artifice lorsque sa voix s'élève. Ce qu'il dit est le fond de ses pensées, ou plutôt des pensées de son apparence. Haustère et parfois supérieur, il n'est pas un homme que l'on apprécie cotoyer, sauf si l'on recherche la compagnie d'un bloc de glace qui jamais ne fondera. L'Empereur lui a offert un don à sa naissance, le don de percevoir la "forme" du coeur de l'homme ou de la femme qu'il sonde. Ainsi, il ressentira s'il est fondamentalement mauvais, et il l'éliminera pour accomplir son rêve. Un monde seulement peuplé de ceux méritant la vie, de ceux qui sont bon au plus profond d'eux, de ceux dont le coeur n'est pas souillé par la haine, la vengeance ou toute autre chose néfaste. Tuer un impur est une chose qu'il n'hésitera jamais à faire, fracassant son visage d'un revers de Sukuinushi, son marteau géant au nom signifiant le Rédempteur. Car c'est véritablement la parole de l'Empereur qu'il délivre, parole qu'il perçut une nuit dans ses songes, et qui lui ordonnait d'éliminer les impurs. Il tue, mais ses mains ne sont pas souillés du sang versé. Il ne tue que ceux ne méritant pas se don qu'est la vie, et le sang qui macule ses paumes n'est que tribut versé à la Bénédiction de l'Empereur. D'ailleurs, parlons de ce dernier. L'Empereur est une chimère mentale d'Osaki, qui est persuadé qu'il existe et qu'il dirige le monde depuis le ciel. C'est un peu le Dieu suprême, et il se considère comme le bras armé de sa colère. C'est un Dieu guerrier et vengeur, un Dieu qui oeuvre pour la paix à travers la guerre. Jamais le doute sur la pureté de ses objectifs n'a parcouru son coeur. Il est l'Elu, et il poursuivra sa tâche inlassablement, l'Empereur le protégeant de la Mort. Chaque vers, chaque prose des Récitaux de l'Empereur, ils les connait tous. Il porte d'ailleurs un livre dans lequel il a consigné tout les messages divins, qu'il reçoit dans son sommeil.
Mais qui est-il au fond de lui ? Un jeune homme gentil, attentionné, parfois même timide. Il pense réellement oeuvrer pour le Bien, et tenir ainsi à l'écart le Mal de son coeur. Son idéal utopique lui semble l'accomplissement de toute sa vie, un rêve possible grâce au don que lui a fait l'Empereur à sa naissance avec son hypersensiblité augmentée. Une part de lui ressent chaque sentiment de l'ennemi, depuis sa paix, son calme et son émerveillement lorsqu'il perçoit la mgnificence de l'Empereur, mais aussi sa colère, sa peine, sa douleur. Cette sensibilité est son meilleur atout, mais aussi son point faible. Chaque blessure qu'il inflige, il l'a ressent, non pas sous forme de douleur, mais sous forme de choc. Son coeur lui semble alors avoir été transpercé par un épieu glacé, et on pourrait comparer cela à une souffrance sentimentale. Il sait aussi qu'abattre chaque impur lui apportera un jour les foudres de son village, et que le grade de Nukenin pourrait être apposé sur sa photo. Mais il s'en moque, son objectif passe avant sa satisfaction personelle. Si Nukenin il devient, il sera un Nukenin apportant la mumière, libre de voyager dans le monde ninja sans incident, sans limite. Parfois, des ignorants s'interposent entre lui et le véritable démon. Il se débrouille pour ne pas les tuer, mais parfois il doit atteindre une telle mesure radicale. Leur âme résideront à droite de l'Empereur Tout Puissant, car la Paix ne peut être obtenue sans sacrifice. Haïssez-le pour ses purifications, mais ne recherchez pas la vengeance. Le mélange de ces deux choses pervertis l'homme pour toujours, et seul Sukuinush pourras désormais éliminer la menace qu'ils sont pour ce grand rêve.
My story
I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
— HISTOIRE : Vous voici dans la partie la plus étrange et la plus sombre de cette présentation. Vous devez vous demander comment un être humain tel qu'Osaki a pu voir le jour sur cette Terre. A-t-il une maladie mentale incurable, ou bien un défaut génétique ? Non, rien de tout cela, il est même médicalement très sain dans son esprit. Mais c'est son lourd passé qui l'a faconné avec violence, dans le sang et la terre, l'argile et les larmes. Ses bras sont animés par une tristesse absolue, par une détermination indéniable. Personne d'humainement moral ne devrait subir les même choses qu'Osaki. Voilà son passé, tel qu'il a été, sans mensonge ni censure. Soyez prêt à lire n'importe quoi, car au plus profond de ce fanatisme se cache une douleur enfouie, un lourd passé...
Osaki est né au Pays de la Roche, de parents ninjas. Il passa les premières années de sa vie dans la joie et la bonne humeur, vivant dans la quiétude avec sa famille. Il aimait ses parents et sa famille plus que tout, et rêvait de devenir un jour un grand ninja pour les rendre fier de lui et pouvoir les protéger de la mort. Plus on aime, plus on veut protéger sa famille, mais plus leur pertes est dures et douloureuses. Il était jeune, à un âge où les pensées sont aisément manipulables et rarement durables. Le village fut attaqué en pleine nuit par Kumo, ses ninjas tuant touts les civils et militaires. Un groupe de trois shinobis, dont Shounseï parmi eux, entra dans son habitat, égorgeant ses parents et saccageant tout. Alerté par les bruits suspects, le jeune Osaki descendit les escaliers le séparant de sa chambre à la cuisine, et trouva les ninjas entrain de festoyer. Il ne savait pas qui ils étaient, ni ce qu'ils avaient fait. Plein de sympathie, il alla les saluer, les yeux encore embués par le sommeil. Immédiatement, Shounseï le remarqua, et sentit le potentiel qui sommeillait en lui. L'amadouant, ils l'endormirent avec un Genjutsu et l'emmenèrent avec eux, espèrant en faire un ninja d'exception qui contribuerai à l'avénement de leur village. Après de longues journées de marche, leur trajet étant ralenti par les énormes charettes contenant du matériel volé, ils arrivèrent devant les portes du Village Caché de la Foudre. Accueilli en héros, personne ne remarqua l'enfant dans les bras de Shounseï, sauf sa propre épouse.
Stérile, elle ne pouvait pas enfanter, et cette vision était pour elle un don de Dieux. Elle se fraya un chemin à travers la foule en liesse et bondit dans les bras de son mari. Après un long baiser, il lui expliqua par un odieux mensonge comment il avait obtenu l'être qui plus tard serait pour lui comme un fils, avant de devenir son assassin. Il l'avait soi disant trouvé dans les ruines du village, non loin du cadavre ensanglanté de ses parents. Le petit pleurait à chaude larme, et seul un Genjutsu avait pus le calmer. Elle le pris dans ses bras, et c'est à ce moment que le poupon décida de briser l'Illusion, ouvrant grand ses petits yeux noir de jais pour fixer sa maman adoptive. Il éclata en sanglot, marmonnant des choses incompréhensibles à propos de ses parents. Il pleurait, de grosses larmes roulant sur ses joues rosées alors que de bref souvenirs lui revenaient en mémoire. Des visages souriants, des jeux amusants, le sommeil dans les bras de sa mère, de sa véritable mère. Il gesticulait, rendait folle de peur la pauvre jeune femme qui le tenait dans les bras. Soudain, il stoppa net ses gémissements, regardant la jeune femme dans les yeux. Imperceptiblement, Shounseï avait transformé une partie de ses souvenirs, faisant ainsi de sa femme la mère réelle du petit, du moins pour ce dernier.
Voilà comment grandit Osaki, dans un grand mensonge tissé de violence et d'avidité. Mais il ne savait rien de tout cela, et il passa les années qui furent pour lui les plus belles de sa vie. Entrant à l'Académie, il décrocha son diplôme du premier coup, mais tel ne fut pas le souvenir qu'il en garda. Tashio et Sakya, ses deux amis, les deux personnes qu'il aimait le plus après sa famille. Ensemble, ils passèrent de bon moments, jouant au ballon et au ninja, fabriquant des cabanes dans le vieil arbre mort qui trônait dans le jardin de Sakya, pêchant des Frétilleurs, petits poissons sombre comme la vase à la vitesse de déplacement incroyable. Sa vie n'était que rire et jeux, amour et amitié. Tout ce qu'un petit garçon a besoin pour grandir normalement, il l'avait. Le problèmes de la parenté ne se posait pas, ses adopteurs s'étant mis sur un commun accord d'accord sur la perspective de lui dévoiler la vérité seulement lorsqu'il serait grand. Petit garçon devint grand, et alors que l'adolescence s'engageait, l'amitié qu'il ressentait pour la jeune Sakya devint lentement de l'amour. Il ne la voyait pas du même oeil, ce n'était pas les même émotions qui naissaient dans son coeur alors que ses yeux se posaient sur les siens. Mais la timidité était un de ses plus grand défauts. Il n'osait pas lui dévoiler le contenu de son coeur, il n'osait pas lui dire le fond de sa pensée.
Mais on se rend compte de la chance que l'on a seulement lorsqu'on perd le bonheur acquis. La chance d'avoir vécu de tels instants de bonheur, d'avoir vécu le début de sa vie dans l'amour, d'avoir une mère adoptive réellement sincère et gentille. Il s'était noué un lien très étroit entre Osaki et ses deux "parents". Il aiamait sa mère de tout son amour, admirant son calme et sa bonté, sa gentillesse et sa grandeur d'âme. Et son père, avec qui il faisait de nombreuses sorties le week end. Ils étaient comme deux amis, alors qu'il lui apprenait les rudiments de la chasse, de la pêche, de certains arts ninjas. C'est avec lui qu'il découvrit son affinité de base qu'est le Katon, comprenant par la même occasion les raisons de sa grande résistance à la chaleur. C'est avec lui qu'il s'entraîna durement, et qu'il maîtrisa pour la première fois un jutsu. Bref, c'est avec lui qu'il vécut de magnifique années, souvenirs malheureusement entâchés par le mensonge. Comment en est-il venu à le découvrir ? Voilà cette sombre histoire, une des zones les plus noires de son lourd passé.
Alors qu'il rentrait d'une longue ballade avec ses eux amis au bord de la rivière, il entendit une discussion entre son père et son meilleur ami. Ce dernier avait été témoin de l'enlèvement d'Osaki, et tel était d'ailleurs leur sujet de discussion. Sa mère était partie en voyage afin de soigner les habitants d'un village voisin, et ne rentrerait que tard dans la nuit. Ne sachant pas que son "fils" l'écoutait, il se remémorait avec son compagnon son "obtention". Tel fut le mot qu'il avait employé. Dans sa bouche, il l'entendit le désigner "d'armes du village", "de machine à tuer", "de ninja né pour être asservi". Il éclatait d'un grand rire tonitruant débordant de cruauté. Il lui rapella comment il avait obtenu ce ninja d'exception, comment ses mensonges et ses illusions l'avaient berné. De grosses larmes de tristesses coulaient sur les joues d'Osaki, qui entendait tout. Les mots l'achevèrent lorsqu'il conclut par un "Bon voila, je l'ai entrainé toute ces années, maintenant débarrassez m'en au plus vite". Ce fut comme si un pieu de glace s'enfonçait dans son âme, la déchirant sous le choc et lui arrachant un plainte muette. L'entendant avec ses sens de shinobis, son père ouvrit brutalement la porte, pour ne rien trouver. Caché derrière cette dernière, le jeune homme retenait ses sanglots. Les larmes de tristesses devinrent larmes de haines, et il partit en direction de sa chambre, s'emparant de ses affaires avant de les fourrer à la va vite dans son sac. Il le referma, le posa sur son épaule et pris la direction des portes de la ville. Il n'avait plus rien à faire ici. Une brève pensée pour ses amis passa dans son esprit, l'arrêtant sur place alors qu'encore une fois il pleurait, pleurait ce bonheur déchu. Soudain, alors que le soleil tombait dans les bras de Morphée, Il vit son père en plein milieu du chemin, lui barrant le passage. Dans chacune de ses mains, il tenait une faucille à la lame recourbée entâchée de sang. Et son regard était terni par la violence, alors qu'un rictus cruel parcourait son visage. "Je comptais faire de toi notre atout majeur, une force de frappe non négligeable pour notre village. Mais tu m'as déçu, et à présent tu en sais trop. Je dois t'éliminer. Ne t'inquiète pas pour ta mère, tu auras péri dans un malheureux accident, une agression de brigands. J'ai bien peur que jamais tu ne revoies l'aube." Chaque mot, chaque tonalité était emprunt d'une violence monstrueuse, d'un besoin de tuer. Osaki ne savait pas s'il serait capable de tuer l'homme qui l'avait tant aidé, avec qui il avait tant passé de temps, mais le passage sur sa mère l'avait plongé lui aussi dans une folie sanguinaire.
Face à face, deux hommes, un survivant, un mort qui se traîne au sol. Aucun des deux ne se leurrait sur l'enjeu. La vie, ou la Mort. Pas de seconde chance. Mais il arrive parfois dans la vie que le choix soit facile à faire, mais difficilement réalisable. Les lames fendirent l'air, s'entrechoquant violemment alors que le sang se mêlait à la sueur. Maintes blessures furent infligées, maintes douleur furent subies, mais personne n'abandonnait. Le soleil finissait presque sa lente descente lorsque la balance pencha dans un camp. Le camp du Mal, le camp de Shounseï. Osaki, à terre, les armes trop loin de ses mains pour être atteintes. Sunseï, le tranchant de sa lame posée sur sa gorge. Il appuyait lentement, faisant perler une goutte de sang sur sa trachée. Il sourait vaniteusement, et alors que sa seconde lame se levait dans un arc de cercle macabre, le temps sembla s'arrêter. Plongeant vers sa nuque, elle fendait l'air, les atomes se poussant à son passage. Soudain, le sang gicla, flottant en l'air avant de retomber sur le pavé du sol terreux. Mais ce n'était pas le bon sang...
Plongeant devant sa lame, Sakya avait stoppée net son funeste parcours. Une entaille de bonne dimension avait pris forme dans son torse, là où les vêtements étaient lambeaux et la chair boucherie. Du vermeil s'imbiba dans ses habits alors qu'elle se retournait vers Osaki, le regardant avec amour et douleur juste avant que la Mort ne vienne prendre son tribut. Son corps raide s'effondra sur le sol, alors que son dernier soupir était rendu. Le déchirement intérieur d'Osaki s'intensifia encore, au mensonge s'ajoutant le meurtre. Le bref répit qu'elle lui avait apporté allait lui servir. Il récupéra son arme, et planta sa lame aiguisée en plein ventre de Shounseï, arrachant un poumon ainsi qu'un morceau de foie. les organies vitaux pendaient mollement au bout de sa pointe, dégoulinant d'hémoglobine. Dans ses yeux, on pouvait lire la haine et la souffrance, et sa dernière action fut de cracher sur son visage, médisant, avant qu'il ne rejoigne Sakya dans l'Au Delà. Chancelant, respirant à grande goulée l'air frais du début de la nuit, il fixait encore le visage tordue par les émotions néfastes de celui qu'il avait osé appeller "Père" un jour.
"Viens" C'était Tashio, qui venait de déboucher au coin de la rue. Son regard était embué de larme, la mort de son amie le plongeant dans un grande souffrance mentale. Mais le ninja fort qu'il affichait de pouver s'abaisser à cette émotion, et il continua, malgré les épreuves, ce que son devoir de ninja, et son coeur, lui dictait. Il ammena jusqu'aux portes Osaki, et lui fit ses adieux. "Je ne peux pas te suivre plus loin. J'ai encore une famille à faire survivre, des frères et soeurs à nourrir. Jure moi seulement que tu repasseras un jour, jure moi que tu ne m'oublieras pas. Sakya t'aimait,du plus profond de son coeur, de toute son âme. Elle s'est sacrifiée pour sauver ta vie, ne gâche pas cette dernière inutilement. Je te dis maintenant Adi..." Jamais il ne finit sa phrase. Une série de claquement sourd venaient de résonner, et seul un mince filet de sang prévint Osaki du danger. "Cou...Cours !"
Prenant ses jambes à son coups, Osaki partit hors du village. Seule les rumeurs de la lutte lui parvinrent, et un petit coup d'oeil lui montra son ami de dos, un katana de grande taille parfaitement empoignée brandi devant lui. Une dizaine de kunai et autant de shurikens étaient fichés dans son dos, d'où s'écoulait un vaste flot de sang. Osaki savait qu'il ne s'en sortirait pas, mais qu'une fois encore un ami lui avait sauvé la vie. Oui, il ne pouvait gâcher cette dernière. Il devait trouver un but, et ce but était le vengeance. Venger ses amis, et ses véritables parents. Jamais il ne revit sa mère, qui dut se retrouver désemparée lorsqu'elle entra le soir. La police, son mari mort, son fils disparu... Maid il ne pouvait plus faire marche arrière. Trop de sang avait coulé pour faire ce pas, reculer n'aurait été qu'une erreur phénoménale. Son seul regret était de laisser sa mère seule, mais il ne pouvait plus rien y faire. Tout se mélangeait dans un tourbillon de douleur à l'intérieur de sa tête alors qu'il s'enfuyait loin, très loin de Kumo. Il venait d'avoir 16 ans la semaine d'avant.
Il partit à l'aveuglette sans savoir où sa course le menait. Marchant le jour, se reposant la nuit, toujours sur ses gardes. Après le combat et le meurtre qu'il avait commis, personne ne pouvait lui accorder le pardon. Il était devenu un paria, vivant dans la peur et la violence. Traversant de grandes forêts de conifères, des rivières au courant tumultueux, des pics montagneux à la neige battante, des plaines battues par la férocité des vents, il changea totalement. Ses muscles s'endurcirent autant que son moral, son instinct de survie devint son seul ami et seul compagnon. La pitié n'existait plus, lorsqu'il devait tuer pour se défendre, il le faisait, sans hésitation. C'était un jeu dans lequel la moindre erreur est fatale. Mais, malgré ses longs voyages, il était toujours traqué par des chasseurs de Nukenin. N'étant qu'un Chuunin dans son village, il se doutait que l'opposition serait faible, mais une trop grande confiance en soi peut conduire à la mort. Que ses adversaires soient des Chuunins, des Juunins ou même d'innocents Genin, il les tuait à main nue, ayant perdu ses armes un jour qu'il traversait un torrent en colère. Ne gâchant rien, il récupérait leurs armements, la plupart du temps dérisoire, ainsi que leurs vêtements et leur corps. Les habits lui servaient pour résister au froid mordant, car il avait choisi d'établir son campement dans les montagnes du Grand Nord. Et les corps pour en faire des appâts à prédateurs, car dans les montagnes, les espèces vivantes sont toutes d'une grande violence. Seule quelques bouquetins blancs ne se nourrissaient pas de viande, préférant les mousses et racines. Mais entre les Ours Polaire, les Dévoreurs de Glace, les Oiseaux Sanglants et autre Effondreurs, chaque seconde était un combat de toute un vie. Rapidement, le nombre d'ennemi se tarit, et les matières premières du futur Inquisiteur diminuaient à vue d'oeil. Les habits se déchiraient lors des combats, les armes se brisaient ou disparaissaient sous la neige. Il fallait qu'il agisse, et au plus vite. Il apprit donc à se travailler le cuir et les os, se faisant des protections avec la chair des créatures vaincues, taillant leurs os avec des pierres tranchantes pour les rendre aussi pointues que des armes de métal. C'est ainsi qu'il se fabriqua ses gants, qui plus tard deviendrait un de ses atout majeure.
Il resta ainsi isolé, à s'entraîner durement contre les éléments et la Mort, pendant plus de deux ans. Le nombre de prédateurs qui périrent sous ses coups étaient simplement incalculable, et encore maintenant il arrive de trouver des restes de ses combats. Comment savoir que ce sont des restes ? Simple. Dans les montagnes, la nourriture est rare et précieuse. Ainsi, lorsqu'un animal en tue un autre, il mange même ses os, ne laissant aucune trace. Mais si c'est un humain qui la tué, les os rezstent, les créatures répugnant manger des os qui ne comporte pas la marque de leur odeur, des os qui ne sont pas le fruit de leur travail. Ainsi, quiconque passera dans les montagnes du Grand Nord risque de trouver un pile d'os, parfois intacte, parfois brisé et tâché de sang séché. C'est qu'il aura marché dans les pas d'Osaki.
Mais un jour, la guerre éclata dans le monde shinobi, les villages s'entredéchirant pour la suprématie. Des combats eurent lieu un peu partout sur le continent, et fatalement, l'un d'entre eux se déroula sur le Col de Glace, endroit où survivait Osaki. Il vit les ninjas s'entrechirer, le sang couler, mais il fut malheureusement trouvé, le soldats de Kumo le reconnaissant immédiatement. Mais c'était réciproque. Ce bandeau frontal, ces techniques Raiton, Osaki avait lui aussi compris qui étaient ses mystérieux hommes. Avant qu'ils ne puissent esquiser le moindre geste, il les tua, tranchant leur tête avec toute la haina qui sommeillait en lui, avant d'empaler leur chair sur des pics rocheux. Sachant que la disparition d'une équipe entraînerait l'envoi de toute une force d'assaut, il disparu, repartant vers le sud afin de réapparaître. Mais ce fut pendant ce trajet que l'Empereur commença à communqiuer avec son Elu. Alors qu'Osaki dormait dans les plaines du futur Pays de l'Herbe, un étrange songe entra en lui. Une silhouette humaine aux traits baignés de lumière se tenait devant lui, le regardant avec un mélange d'admiration et de pitié. Sa Voix résonna dans son esprit, alors que les soleils flambants dans ses yeux perçaient les secrets de son âme torturée. "Osaki, écoute ma Voix. Elle te guidera vers un futur meilleur. Tu n'es pas fou, je sais que c'est ce que tu penses. Et tu te demandes aussi qui je suis. Je suis l'Empereur Immortel, Maître de Toute Chose vivant sur cette Terre. C'est moi qui ai façonné ce monde, mais malheureusement je ne peux le contrôler. La Guerre a embrasée la Terre, et si personne ne fait rien, il ne restera de cet astre qu'un immense désert stérile. Et personne ne veut ça, ni toi ni moi. Tu as traversé des épreuves très dure dans ton passé, mais n'as tu jamais remarqué que dès que la Mort s'apprête à te frapper, un évènement l'en empêche. Je veille sur toi depuis ta plus tendre enfance. Tu as un don caché en toi, un don qui feras de toi mon Elu. Ton hypersensibilité, qui te permet de ressentir le Mal sommeillant dans le coeur des autres. Utilises ce don à bon escient, et tu sauras ce que tu dois faire. Ce monde ne doit pas sombrer dans la dévastation, et pour ça il faut que quelqu'un agisse. Ce quelqu'un, c'est toi Osaki. Tu seras le bras armé de ma colère, apportant le Châtiment aux ennemis de l'humanité et protégeant ceux dont la flamme du Bien brûle en eux. Maintenant va, suis ton coeur et ton coeur te guideras"
Dans un sursaut, il se reveilla. Comment savoir si c'était la vérité ou bien un simple rêve ? "A deux jours de marche vers le Soleil Couchant, tu trouveras un petit village. Dans la maison portant le nom de Kaminoie, tu descendras les escaliers, pour arriver devant un mur. Prononces alors le Verset de la Délivrance, et la terre deviendra air, et alors tu Les trouveras, les Instruments du Châtiment. Va" Soudain, Osaki s'empara d'un vieux livre qui traînait dans son sac, et pendant plusieurs heures il inscrivit des milliers de verset directement dictés par l'Empereur. Chaque verset portait un nom, suivi d'un texte en langue Zvrestik. Puis, il prit la route indiquée. Il marcha en ingorant la fatigue, et finalement arriva dans le village. Des dizaines de maisons brulées, des charniers de cadavres en décomposition, des corps empalés, d'autre déchirés, bref, un véritable carnage. Comme dans un rêve, il traversa cette horreur, et vit alors la maison indiquée. La seule maison encore intacte. Il poussa la porte, qui s'ouvrit sans un bruit. Immédiatement, il vit les escaliers, qu'il s'empressa de descendre. Exactement là où l'Empereur le lui avait dit, il aperçut un mur. Il s'en approcha, et alors prononça "Kseth Onsa Grassth Orth Nun Repestos" Immédiatement, la terre trembla, et le mur s'enfonça lentement dans le sol, obéissant aux ordres. Alors, il les vit.
Une magnifique armure exactement de sa taille, ainsi qu'un marteau doré brillant d'une lueur jaune. Il les prit, les enfila et ressortit de la pièce cachée. Son coeur croyait à présent en l'Empereur, et chaque mot qu'il se remémorait était empreint pour lui d'une vérité profonde. Mais l'Empereur lui même n'avait pas prévu un évènement qui aurait pus devenir facheux. Alors qu'il remontait les escaliers, un vacarme d'enfer secoua la maison, faisant tomber poutres et poussière du plafond sale. Des voix résonnaient dehors, hurlant qu'uls avaient vu quelqu'un entrer dans le bâtiment. Aussitôt, le vacarme recommença, vacarme auquel s'ajouta un tremblement incontrôlée. Il semblait que toute la maison allait se briser comme un brin de paille sec. Rester à l'intérieur aurait été pure suicide, et l'Elu le savait. Bondissant à travers la fenêtre en esquivant les débris fondant sur lui, il sortit de la pièce juste au moment où le mur porteur lachait, provoquant un effondrement infernal. Il roula, et lorsqu'il se releva, vit un groupuscule d'une dizaine d'homme, taché de sang frais. Nul doute qu'ils étaient les coupables de cette hécatombe. Soudain comme si son coeur se déchirait, Osaki sentit le Mal dominant dans chacun d'entre eux. Chez chacun, sauf chez le plus jeune aux grands yeux jaunes, effaré de voir un homme doré sortir d'une ruine. Empoignant son marteau, Osaki fonça sur ses adversaires, fracassant crânes et plaques thoraciques sans pitié. En quelques minutes, neuf cadavres rouges parsemaient le sol terreux, alors que le dixième rampait au sol, les yeux embués de larmes de peur. Osaki s'avança vers lui, se penchant très près de son visage et lui souffla un simple "Le Bien vit à travers toi, ne gâche pas ta vie à une chose aussi futile que la vengeance". Puis, dans un froissement de cape, il disparut dans le brouillard qui venait de se lever.
Une légende naquit alors. Un homme engoncée dans une armure dorée serait à l'origine de multiples disparition. Etrangement, tout ceux qui disparaissent était réputé pour leur cruauté, leur violence ou tout simplement leur propention à manipuler et menacer les gens. Il semblait que ceux n'ayant commis aucun crime n'avait rien à se reprocher... Pendant un peu plus d'un an, il erra, combattant le mal avec son marteau sacré. Chaque nuit, il entrait en discussion avec l'Empereur, qui le guidait jour après jour. Du moins, il apparaissait dans ses songes lorsque quelque chose d'importants allait se passer. Ainsi, ce fut par sa Sainte Décision qu'il se rendit aux portes de Kiri. Un épais brouillard masquait le village, cachant ceux qui s'en approchait. Alors qu'il s'avançait, un petit groupe de shinobi avança vers lui, lui barrant le passage tout en commençant un véritable interrogateoire. Son coeur lui indiqua le Mal dans certains d'entre eux, mais alors qu'il allait s'emparer de son marteau pour purger le monde des hérétiques, une voix retentit en lui, lui intimant de ne rien faire. Reconnaisant la Voix de l'Empereur, il se retint de commettre un massacre. Chaque questions, il lui apportait une réponse. Chaque piège, il l'esquivait. Il se faufila entre les mailles de l'interrogatoire, avant de finalement être accepté à entrer.
La suite est plutôt banale pendant quelques années. Il réussi à devenir un ninja officiel de Kiri, grimpant rapidement les échelons pour devenir un Juunin très puissant. Malgré le ressenti de son coeur, il ne tuait personne de Kiri, l'Empereur lui ordonnant d'attendre avant de pouvoir purger ce village du Mal. Il commençait à entrevoir l'amitié, malgré son manque de compréhension totale envers cette dernière, il nouait sans s'en rendre compte des liens avec maintes shinobis du village caché de la Brûme. Parmi eux, Kōta Ryûhō, un grand ninja réputé pour sa force et son intelligence. Mais le système même du village était perverti, ses dirigeants rongés par le Mal et l'Avidité. Ainsi, lorsque Kōta décida de s'exiler avec un groupe de ninjas suite à un cuisant échec humiliant, Osaki décida de le suivre selon la volonté de l'Empereur. De nouveau, il était un paria pour tous, mais ce coup ci, ce n'était pas un Nukenin tuant pour une cause inconnues. Il était là pour purger cette partie du monde, qui lui servirait plus tard de point d'appui dans sa gigantesque purification. Chaque volonté de l'Empereur a un but caché, et seul son Elu peut le percevoir après de longues années. Cette venue à Kiri n'avait été que le point de départ pour son acte utopique. Tout seul, il n'aurait pus qu'éliminer un certains nombres de personne mauvaise, avant d'avoir sur le dos touts les villages ninjas. Sa mort aurait été rapide, et bien douloureuse. Alors qu'ici, protégé par ses compagnons et par son village, il avait les bases d'une oeuvre aux dimensions indescriptibles.
Mais si la base était souillée, l'édifice ne serait que putride construction. Le tribut du sang devait être payé pour que le Bien triomphe à jamais. Pendant quelques temps, il débarassa Kiri des mécréants y habitant, souillant sa terre fertile de leur simple présence. Mais chaque chose a une fin, et le moment de rentrer au village avait été annoncé par leur chef à tous. D'un pas sur, il avança vers le mur d'enceinte, se remémorant son arrivée. Mais aucun n'était dupe, tous savait qu'encore une fois, un lourd sacrifice serait de mise pour regagner les terres natales de bon nombre d'entre eux. Comme prévu, ils trouvèrent un comité d'accueil à l'entrée du village caché de la Brûme, en la personne d'un des sept épéistes légendaires répondant au nom de Takeshi Miwari, ainsi que de sa garde composée de l'élite des shinobis des clans Terumi et Ryûhō. Les lames furent dégainés, les coeurs sondés... Seulement des mécréant méritant la mort. Les ennemis bondirent, les chocs furent rudes, le sang coula. Impitoyable, Osaki exterminais tous ceux se dressant sur son passage, répandant leur sang impie sur le sol terreux. Des fragments de cervelles volaient en tout sens, des corps sans vie s'effondraient un peu partout parmi les deux camps. La violence fut terrible, mais au coeur des combats, la jeune soeur de Kōta tomba, son âme d'une pureté incroyable partant trôner au banquet de l'Empereur pour l'éternité, où elle trônerait à sa droite. Fou de rage, il fit reculer les survivants de Luberia, avant de donner le coup de grâce à ses adversaires épuisés. La bataille avait été terrible, mais la victoire nous appartenait.
Finalement, nous fûmes récrédités aux yeux de la population, et pûmes revenir à Kiri. Depuis, tout fus plutôt calme, mais la guerre qui a éclaté il y a peu annonce l'avènement de la seconde phase de la grande Purification Mondiale. Reste à savoir quelles sont les volontés divines...
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Dernière édition par Tenryū Kaminari le Lun 30 Mai - 7:04, édité 2 fois
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Invité
Sujet: Re: Présentation de Osaki
Dim 29 Mai - 18:26
Bienvenue sur KNS
Il te manque deux codes, lorsqu'ils seront présents, nous procéderons à la validation.
Je m'appelle Tenryū Kaminari et je suis un ninja.
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Sujet: Re: Présentation de Osaki
Lun 30 Mai - 7:02
ET VOILA LES TROIS CODES
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Honoo no Rubicant
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Epéiste Légendaire
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Fiche du Shinobi
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178
Sujet: Re: Présentation de Osaki
Lun 30 Mai - 14:45
Bienvenue sur le forum.
Après lecture j'opterai pour ma part pour un rang de
Jonin expert
(soit anbu en quelque somme), avec un bonus de
10 ryos
.
Codes validés.
Je m'appelle Invité et je suis un ninja.
Invité
Sujet: Re: Présentation de Osaki
Lun 30 Mai - 16:45
Lien :
http://naruto-no-sakegari.forumgratuit.org/t221-l-inquisiteur-de-kiri-arrive-parmi-vous
Peux-tu éditer la présentation ou le compte en mettant mon avatar pour nous démontrer que c'est bien le tien ?
Je m'appelle Invité et je suis un ninja.
Invité
Sujet: Re: Présentation de Osaki
Dim 5 Juin - 21:24
Alors ?
Je m'appelle Invité et je suis un ninja.
Invité
Sujet: Re: Présentation de Osaki
Ven 10 Juin - 23:42
Archivée
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Sujet: Re: Présentation de Osaki
Présentation de Osaki
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