Kigen No Setsuwa
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##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)

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Je m'appelle Kuukyo Gokusha et je suis un ninja.


Kuukyo Gokusha

Membre d'Akatsuki



Messages : 36
Date d'inscription : 24/03/2011
Age : 31



Fiche du Shinobi
Ryos: 178


##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Empty
MessageSujet: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitimeVen 25 Mar - 0:21
Mon Shinobi
      I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
      — N0M : Fury
      — PRÉN0M(S) : Soft
      — SEXE : ♂
      — ÂGE : 24ans
      — Nindo : The wind is blowing
      — VILLAGE DÉSIRÉ : Iwa ? Kiri ?
      — GRADE VOULU : Le plus haut possible, niéhéhé
      — AUTRE / PARTICULARITÉ : L'histoire risque peu-être de vous sembler lourde. Si besoin est, je suis d'accord d'avoir un un test rp pour vous prouver ce que je vaux.

Description physique
      I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
      Le physique prime beaucoup de nos jours… Chaque individu, qu’ils se trouvent êtres hommes ou femmes disposent d’une apparence semblables à aucune autre. Tous sont uniques… Certes, des ressemblances entre membres d’une même famille peuvent être plus ou moins perçues, pourtant, il existera toujours un bref détail permettant de les différencier. Par ailleurs, notre aspect véhicule une image mélioratif, ou au contraire péjoratif, cela parfois même à nos dépends. Les exemples sont tous aussi vrais qu’horripilant. L’une des plus grosse faute humaine restant encore et toujours le racisme. Juger quelqu’un à sa couleur, et non à sa sagesse, à son esprit… Est-ce bien acceptable ? Soit, s’attarder sur de tels dires ne me regarde pas. Pourquoi devrais-je faire part de mon idéo, alors qu’il ne s’agit que d’une simple présentation, et non d’un discernement portant sur « Les réactions et visions du monde, et sur ses couleurs ». Autrement, qui dit physique, dit beauté, mais la beauté, qu’est-ce réellement ? Je conçois pour ma part, il n’en est qu’une simple enveloppe qui permet la réussite sur bien des plans. Personnellement, je n’ai vus que très peu de star à l’aspect physique désagréable. De plus, sur le plan sentimental, une « gueule d’amour » comblera bien plus facilement le cœur d’un autre… Après, il subsiste bien heureusement des exceptions, mais inutile de rentrer dans les détails, car ceci n’est pas mon but. Votre requête est telle qu’elle me demande de décrire Soft… Voilà pourquoi je me dois d’exaucer votre appétence. Afin d’être on ne peut plus précis dans mon récit descriptif, je vous exposerais les parties de son corps en partant du bas pour remonter vers le haut. Puis je procéderais pareillement une fois arrivé au visage.

      Ses pieds d’une taille tout à fait normale reposent dans de longues bottines noires, ne laissant paraitre le moindre orteil. Cette pointure s’élève jusqu’au bas du genou, abritée sous un long braie de même teinte, soutenu lui-même par une ceinture de cuir tout aussi élégante que l’ensemble de son allure. Subséquemment, son vêtement supérieur porte un aspect démarqué, peu notoire dans un monde escamoté d’un habituel dégout vestimentaire. En effet, une chemisette immaculée présentant des larges dentelles joliment dessinées, repose sous un épais costume au touché sans pareil et à la finissions que l’on pourrait qualifier de parfaite. Si c’est un style isolé du monde des ninjas, l’hôte de cette accoutumance en est tout autant différent. Prenant grand soin de son apparence, il ne rentre pas dans l’excès, si bien que légèrement hautain, il se rit des villages auxquels il trouve la ressemblance méprisable.

      Le bel homme mesure plus d’1m85 pour un poids avoisinant les 65kg… Mais derrière cette carrure plus au moins obsolète, se cache un homme tourmenté par la vie. Et c’est de son joli visage, que l’on perçoit la faute.

      Un physique plaisant mais pourtant souillé par un visage partagé entre angélisme et démence. Ni ovale, ni rond, Soft et pourvut de fines pommettes et de joues creuses qui referment un visage lisse, débuté par un menton très simplement recourbé. Une rehausse de sa lèvre inferieur, qui pourtant n’est en rien pulpeuse, conjointement à sa supérieure qui elle est dessinée avec plus encore de grâce. Leur teinte commune est peu colorée, pour ne pas dire à l’identique de la peau dont il est recouvert : blafarde mais si bien portée. Plus haut encore, un nez délicat assez haut et terminé en trompette, fait office de symétrie et de barrière entre deux yeux, et quelles prunelles troublantes… Il est de loin la première particularité de Soft, elle faisant toute la beauté du personnage, lui au charme fringant à la limite de l’irréel. Contourné de noir, ses iris d’un blanc total abordent un sombre contour, seul détail qui l’oppose au clan Hyûga et à leur Dojutsu. Un regard froid, vide de joie souvent baissé face contre terre, non pas par soumission mais par vénalité. En définitif, ce sont ses longs cheveux couleur flétrie, très clair à la base avant de foncer à l’extrémité, qui conclut un visage délassant, masquant par ce fait une paire d’oreille camouflée sous cette coloration attrayante.

Description Mentale
      I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
      La psychologie humaine est fascinante. [Wikipédia : Pour Ryle, matérialisme et idéalisme pêchent de façon inverse: le matérialisme opèrerait une réduction des états mentaux aux états physiques, tandis que l'idéalisme réduirait le monde matériel aux états mentaux. Or ces deux positions antinomiques présupposeraient, selon Ryle, la disjonction exclusive « soit il existe des corps, soit il existe des esprits. »] En outre, la plastique psychologique de l’âme n’affecte l’état matériel, puisque l’un peu subsister sans l’autre, c’était du moins ce qu’en pensait Ryle… Toutefois, il nécessite d’expliquer avec attention que le mental se détache en partie de l’âme, chose souvent égarée, car la réduction des prothèses anatomiques implique l’organe encéphalique. On conclura donc que l’âme, si elle est, affecte en partie les sentiments, mais dans sa diction, est rejointe par le mental.

      Le mental est propre à chacun Tout être possède ses propres conceptions, qu’elles soient néfastes ou non. Qu’elles diffèrent totalement, ou alors partiellement des autres, mieux encore, qu’elles y soient parallèles. Mais peut ont croire à se que l’on perçoit ? Un physique ne se trompe pas. Il lui est possible d’être quelque peu retouché, mais nos traits nous sont propres, et la reconnaissance reste plausible. Cependant le contenu de notre cerveau est impénétrable, imperméable. C’est un peu comme si devant nous se tenaient des millions, même des milliards de possibilités, auxquelles il faudrait associer un individu. Cela serais-ce donc possible de lire en quiconque comme dans un livre ? Pour ma part je n’y pense pas. Plus haut j’ai parlé d’encéphale, mais le moral s’y trouve t’il uniquement ? Franchement… Je ne pourrais nullement le certifier à cent pour cent… J’en doute, bien plus que pour tout autre chose, car même si le contenu de mon crâne joue énormément sur mes actions, mon cœur lui aussi me dicte ses ordres… Soit, il nous est tous impossible de dire connaitre parfaitement une personne car seul dieu (si celui-ci est bien présent) peut y prétendre. Mais le comportement est il écrit dès la naissance ? Je juge que non… Pourquoi cela ? Tout simplement car une perte peu remettre les pendules à zéro et nous faire rebrousser chemin. La mort d’une personne chère en est l’une des raisons… Perdre l’amour d’un proche peux pousser à la vengeance. Le gentil petit garçon qu’était Sasuke au par avant en est la preuve, mais même ailleurs que dans le monde du manga, les représailles existent… Changer, en fonction de ce qu’on était et de ce que l’on veut devenir. Trouver un but à son existence, défendre ses droits et bien plus encore, protéger ceux d’autrui. Tant de choses à exposer dans la partie mentale, qui, bien que plus complexe à compléter que pour le physique, s’avère être une véritable tornade d’idée… Pour cette partie, je vous énumérerez les quelque grands points psycho-anatomique de Soft, tel que son comportement, les idées qu’il défend, la sagesse dont il fait preuve et bien d’autre…

      Il est extrêmement dur de comprendre Soft ainsi que l’ensemble de ses idéaux. De plus, je ne tirerai que les grandes lignes de sa physiologie. Pour tout dire, la vie du Gentleman tourne autour d’un seul et même but : la haine. Néanmoins, alors que nombreux seraient d’avis d’en faire un compagnon d’arme, l’idéologie dans laquelle il exprime ses propos reste troublante et macabre. Cette attitude est en grande partie dût à la perte de ses facultés mentales. Jeune enfant, il croyait en le même destin que son père : une utopie palpable de part ses grandes paroles… éloquences fortes, mais éphémères. La jonction qui le raccroche à ses peines l’a aussi accolé à ses devoirs… Juvénile et simple d’esprit, c’est seul qu’il a apprit à comprendre un peuple perfidement grotesque. Aujourd’hui l’homme qu’il est devenu à trouver une réponse… Une réponse pour libérer les pêchers d’un monde impropre. Une réponse pour couronner l’abime qui retient les hommes. Une réponse pour achever une haine grandissante dans le cœur de chacun…

My story
      I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s
      Loin, le temps coule, perdant son arôme vivifiant et délicat. Un zeste de bons sens, une goutte de compassion… Les gens naissent, les gens meurent, la vie n’est que l’ivresse d’une banalité totale. L’existence humaine, qu’est-elle réellement ? Un soupçon d’antipathie ronge les plus misérables, car la spirale du temps n’offre pas à tous les mêmes privilèges… D’un côté les bons, de l’autre les mauvais. D’une part les riches, d’une autre les pauvres… Cependant la classification des êtres vivants en reste bien plus complexe… Dieu aurait créé l’homme… Soit. Alors pourquoi ne pas offrir à ses pareils dessins des droits égaux ? Le jeu, La passion, l’envie d’envenimer les choses… Dieu est-il irrévocablement bienveillant ? Par ailleurs, la différence creuse l’écart chez les hommes. Chacun suit ses propres idéaux, mais tous ne sont que les pions d’une infâme société tortionnaire. L’état, les rois évoquent des dictateurs… Leurs appellations changent, mais leurs privilèges et droits restent identiques. La conscience humaine est erronée. Il est bon de croire en ses ambitions, mais rares sont ceux qui y aboutissent. L’histoire d’un homme serait-elle donc tracée ? Le milieu de vie en donne une approche quelconque, mais le changement est naturel… Le riches peuvent devenir pauvres, les gentils peuvent devenir mauvais… Et les mauvais, puissent-ils (re)devenir bons ? Soft Fury, traduit par Douce Fureur… Celons-vous, dans quelle catégorie se classe-t-il ?

      On compte les histoires de qui le veux avec plus ou moins d’intérêt, privilégiant, de droit, la narration de ses proches. S’il n’en est là qu’un détail, la ponctuation joue un rôle primordial sur les consciences et de ce fait, agence les respects à l’image de ces mots. Moi, je n’ai que peu de vécu, et si ce n’est Akira, personne n’est apte à comprendre mon ressentis à l’égard des hommes. Je suis né au sein du pays des rizières, non loin de ce qu’on appela plus tard le village caché du son. C’est derrière neuf années de paix que j’ai vraiment commencé à murir, et déverser mon dégout sur les pays guerriers. Avant cette haine, je vivais de paix, illuminé par ma mère qui seule, avait su s’occuper avec brio de moi et de mon jeune frère. Mon père lui, ne ressortait que le soir, de la bouche de ma génitrice qui berçait mes songes de ses doux mots. Je me contentais de peu, ma famille et mes amis, dont celle qui me sauva la vie quelques années après notre rencontre. Elle était de trois ans mon ainée, et représentait à mes yeux la grande sœur que je n’avais jamais eue. Et vite cette alliance dépassa mes attentes, car je voyais en elle, un modèle, et presque même une rivale. A côté de ça, je ne savais pas encore si elle éprouvait tant d’affection à mon égard, jusqu’au jour fatidique où nos vies se virent balayer, pareillement à un simple revers de main. Son nom était reconnu au cœur de notre bourgade retranchée, même au-delà des frontières, chez ces hommes qu’on appelait ninjas. Dans l’empressement du temps, cette sœur de cœur me fut enlevée, temporairement, avant que ses proches ne réagissent. J’aurais voulu participer à son rappel, mais mon jeune âge couplé à mon incompétence m’empêchait toutes actions, gênant plus encore celles des autres. Alors j’attendis, qu’elle me fut restituée… Puis, l’ayant récupérée, ce fut vite un déluge de tourment qui s’abattit sur nos deux carcasses jeunette. Le pays, humilié par le clan Yuurei, décida d’envoyer ses troupes aux frontières fragiles de nos portes de bois, réduisant à feux et à sang, ce que chacun de nous avait apprit à aimer. Pressentant le danger, Akira sauva ma vie, mais dans sa hâte, y laissa celle de sa famille, comme de la mienne. Nous n’étions plus que deux, seuls au monde, à attendre… Que le sourire nous revienne un jour.

      Peu de temps après notre périple concurremment solitaire, notre route croisa celle de bandits et truands. Pour tout vous dire, je n’apprécie guère avoir à relater le passé de la sorte, plus encore cette partie redondante. Les jours passaient en boucle, durant lesquels je voyais mon amie devenir plus forte, creusant de ce fait l’écart entre nos deux personnes. D’amont en avale, elle dépassait en puissance nombre de nos compagnons d’infortunes, qui prirent de panique, cherchèrent à se débarrasser de nous. Mais les facultés de la belle, nous permirent, et ce jusqu’à ce jour, de rester en vie, tout en gardant les séquelles de notre passé commun. Finalement, et en quête de puissance, nous rejoignirent le village caché de la foudre. Une nation guerrière comme celle qui élimina nos comparses, mais qui vite nous l’espérions, illuminerait notre futur hasardeux.

      Voilà prêt de dix ans, que j’avais rejoint le village de Kumo No Kuni en compagnie d’Akira, elle qui quelques mois seulement après notre adhésion au sein de la contrée avait été promut Chuunin. Pour ma part, je n’en étais resté qu’à un stade peu avancé, frôlant de justesse une réorientation dans un autre domaine que celui du ninja. Puis de nouveau le temps passa, me forçant à fournir toujours plus d’effort pour prouver ma valeur auprès de ceux qui m’avaient hébergé de bonnes grâces et ce, sans rien me demander en échange. Chuunin à mon tour, je constatai, à la fois triste et heureux qu’Akira n’avait pas chômé, si bien que se fut en tant que Juunin qu’elle fêta à mes côtés cette nouvelle promotion. J’étais devenu fort, et avais définitivement tourné la page dite sanglante de mon passé. Et comme dans tous les comptes pour enfant que ma mère me lisait plus jeune, le mal n’allait tarder à réapparaitre…

      Nonobstant, il n’en fut rien, où du moins, pas jusqu’à ce que j’atteigne les rangs d’élites de notre belle nation. Retrouvant Akira, j’étais on-ne-peut-plus joyeux de percevoir l’ensemble de mes efforts, si bien qu’enfin je venais de rattraper celle qui m’apparaissait comme un modèle, comme ce que je me devais d’être plus tard : un héro. Les jours filaient laissant place aux nuits étoilées, elles-mêmes accentuées par les scintillements de lune, dont mes yeux prenaient la teinte sans explication. Un signe du destin sans doute, car se fut lors d’une même soirée qu’elle et moi partions ensemble en mission pour la première fois. Accompagné de deux autres membres des services spéciaux, nous devions aller dans une cité du pays afin de réclamer une somme impayée. Si je n’avais jamais participé à ce genre de besogne, j’étais fier d’apprendre à mon tour les bases de ce qui était devenu chose courante pour Akira… Et pourtant, il en fut tout autre une fois sur place, contemplant impuissant, une violation de ce que nous nous étions promis de chérir : la vie. Pauvre à n’en plus voir la lumière, le doyen de la bourgade s’excusa pour cet affront à la foudre et à ses ninjas. Ecoutant son discourt puis la réponse d’Akira, je compris d’où provenait cette dette qu’il n’arrivait à régler.

      Quelques mois plus tôt, alors que la sécheresse avait causé la perte des récoltes qui maintenaient en vie la populace des environs, des paysans remarquèrent que l’eau qui coulait habituellement aux abords du village avait été détournée par une bande de truands sans vergogne. Faisant appel à Kumo, ils ne purent rembourser leur sauveur, l’argent envolé au même titre que leur cueillette… C’est ce pourquoi nous étions revenus en cette nuit de pleine lune, chercher un dû, dû qui se devait d’être restitué… Bien qu’il n’y parvienne.

      L’ultimatum s’était conclu sur une relance impossible, ce qui m’embêtait, moi ne sachant réagir à la détresse du vieil homme. Puis une main sur mon épaule me fit lentement reculer, laissant Akira prendre les devants, une indifférence pesante figée sur son visage de porcelaine. Saisissant son Katana, elle trancha l’ancêtre en deux, alarmant de ce même fait chacune des vies présentes sur ce qui vite devint un champ de bataille. Paralysé par la peur, je ne pouvais détourner mon regard du vieillard allongé à mes pieds, essayant de s’agripper à ma bottine en guise de pardon. Plus loin, j’entendais des cries et des pleurs pleur d’enfants, auxquels on ôtait les parents dans une horreur indescriptible. Mes jambes tremblantes cessèrent leurs mouvements, en même temps que le silence revint. Rehaussant mon visage affolé, Akira se mouvait dans ma direction, accompagné des deux autres Ninjas recouverts de sang. Que c’était-il passé ? Je n’arrivais pas à le comprendre… Je venais de perdre tous mes moyens en une fraction de seconde, ceci m’empêchant même de refermer ma bouche ouverte depuis le début du massacre. Passant à quelques centimètres de moi, La jeune Kunoichie m’interpella, tout en m’indiquant que la mission était terminée… Mais pour moi, cette nuit ne pouvait être qu’un cauchemar si bien qu’au lieu de les rejoindre, je m’engouffrai seul dans la forêt.

      Courant à vive allure, j’entendais cette tueuse crier mon nom, tout en cherchant à me rattraper. Les hommes n’étaient plus là, sans doute étaient-ils rentrés faire leur rapport auprès du Raïkage, ce qui me permettait de discuter avec elle, de ce qui venait de se passer. Stoppant ma course, ses pas s’immobilisèrent au même titre que les miens. Je ne pouvais me retourner et contempler son faciès recouvert de sang, lui qui probablement, m’aurait plié de douleur et non pas de rage comme il l'était actuellement. Sans un mot, sa douce main se posa à nouveau sur mon épaule, elle que je ne me fis pas prier à repousser. Faisant volte-face, je lui réclamai la réponse à cette vile question, partagé entre le désespoir et la colère…

      - Car il en est ainsi et voilà à quoi servent les services spéciaux… Nous agissons dans l’ombre et s’est pourquoi rares sont ceux qui connaissent nos machinations… Si les masques sont la marque de l’Anbu, c’est car il nous est interdit de voir le reflet de nos visage dans les marres ensanglantées que nous laissons derrière nous. Nous nous interdisons le droit de réfléchir, tout comme de vivre dans le passé, et c’est l’une des raisons pour laquelle nous perdons notre nom…

      Le monde était donc à la botte du malin, lui qui se jouait des sentiments d’autrui. Je venais de faire un bond dans le passé, en voyant mon histoire se répéter sur ce pauvre état… Un sentiment d’injustice aux idéaux que nous nous étions promis m’envahit, vidant mon âme de son habituelle réflexion. Une atteinte morale qui brisa mes rêves, endormant ma paix à jamais sans doute, si bien que comme il se devait d’être chez les miens, j’abandonnais ce pourquoi je vivais jusqu’alors, ce pourquoi je me battais encore aujourd’hui : la vie.

      Agrippant le Kunaï qu’Akira m’avait offert dix ans plus tôt, je lui rendis, brisant son crâne de ma pointe d’acier. Son encéphale touché, elle perdit peu à peu connaissance, gisant contre moi avant que d’un pied je ne la repousse au sol.

      Mon lien avec ce village était rompu, tout comme celui qui m’unissait aux autres. Aujourd’hui je vivrai de silence et de rancune, seul ou accompagné d’homme partageant ce méprit pour la vie, où du moins, celui instauré par le mal lui-même : Le monde des Shinobis.


Derrière l'écran
      I n f o r m a t i o n s . n é c e s s a i r e s


      Autre chose ? ///

      Votre avis sur le forum : Design : très bien, mais le fond est peut-être un peu vide je trouve. Contexte : s'il n'est pas révolutionnaire, il reste plaisant. Staff : connaissant certaines personnes du staff, je sais qu'il est responsable est capable de tenir son rôle.

      Votre activité sur le forum : 5/7

      Comment avez vous connu le forum : Top-site

      Estimation de votre niveau RP : 8/10

      Avez vous lu les règles ?

      Autre chose ? : ///




Dernière édition par Soft Fury le Ven 25 Mar - 0:24, édité 1 fois
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Je m'appelle Kuukyo Gokusha et je suis un ninja.


Kuukyo Gokusha

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MessageSujet: Re: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitimeSam 26 Mar - 15:17
Apparemment, il resterait une place disponible à l'Akatsuki. Serait-il possible que je l'occupe ?

Merci.
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Je m'appelle Yujoba et je suis un ninja.


Yujoba

» Fondateur
» Ancien Jounin expert de Konoha - Nukenin de rang A



Messages : 544
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MessageSujet: Re: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitimeSam 26 Mar - 15:54
Le style d'écriture est tout simplement génial, et donne envie de lire encore et encore. Moi qui suis en totale obsession sur le mental, j'ai adoré celui de ton personnage, complexe dans la description, bien décrit, et pour te dire, j'ai rarement lu une présentation aussi agréable que la tienne. Ton vocabulaire est riche, je ne trouve aucune répétition, et surtout tu as joué dans l'originalité. Les personnages dont la vie et les convictions tournent autour de la haine hantent les forum rpg, mais alors là je dis chapeau Very Happy J'aime bien le point de vue de ton perso sur le monde en lui même, et sa vision de la haine est assez différente de celles qu'on voit d'habitude.


Tu as ma validation pour membre de l'Akatsuki, avec un bonus de 30 ryos. Attends encore deux avis.
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Je m'appelle Sabaku no Temari et je suis un ninja.


Sabaku no Temari

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MessageSujet: Re: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitimeSam 26 Mar - 18:55
Yujoba a tout dit, enfin presque. Malgré quelques fautes qui n'auront aucun impact sur mon avis, ta présentation est excellente. Vocabulaire riche, je confirme, et un style très soutenu que j'apprécie beaucoup d'ailleurs.
Tu l'auras surement compris, mon avis est favorable. Membre de l'Akatsuki avec 30 Ryos de Bonus.
Encore un Avis :3
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Je m'appelle Kurayami Eishi et je suis un ninja.


Kurayami Eishi

— Administrateur —
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MessageSujet: Re: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitimeSam 26 Mar - 19:04
Que dire sinon... Oh my fucking god ? Une présentation tout bonnement génial. J'ai adoré la lire et à vrai dire, je n'ai même pas pris en compte les fautes d'orthographes. Un style très plaisant qui me donne envie de RP avec toi ! Heureusement que tu viens à l'Akatsuki ! =D Je te donne le troisième avis favorable avec un plaisir non dissimulé. Je te souhaite la bienvenue dans l'antichambre de la folie Cool
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Je m'appelle Contenu sponsorisé et je suis un ninja.












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MessageSujet: Re: ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie)   ##The wind is Blowing ♫ ## Soft Fury (Prez finie) Icon_minitime
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