Je m'appelle Mitsuki Akane et je suis un ninja.
Epéiste Légendaire
| Sujet: L'Enfer bleu de la Brume Phendrana Sam 25 Juin - 1:26 | |
|
PARTIE I
Jadis, j'avais vécu à la lumière, jadis j'étais respecté par ma nation...
Tout ceci n'avait plus d'importance pour ma vie. Plus rien d'ailleurs depuis ce jour ou ma vie avait basculé. Pour quels raisons ? Je n'en savais rien personnellement. Je me mentirais à moi-même en disant ce discour,car au fond de moi je le savais pertinemment. J'étais en partie responsable, responsable de cette situation délicate où je me trouvais. Prisonnière de ma cellule, prisonnière entre quatre murs. Attachées comme une bête au fond de cette pièce sinistre, humide et obscure où nul espoir ne pouvait atteindre mon coeur meurtrie, par l'injustice de mon pays. Jugé par erreur par le système du quatrième Mizukage.
Attendant mon tour, j'étais assise, bras suspendu et tiré vers le haut grâce aux chaînes que je portais. Cette ferraille, tirait sur ma peau, le froid de l'acier était comme si l'ange de la mort posait ses mains sur ma peau. Ce frisson de peur et d'angoisse qui m'avaient envahie, sentant que ma vie ne tenait plus qu'à un fil. Durant des heures, ce stress de ne jamais sortir de ce trou m'enfonçais dans les abysses de mon âme, déchirant mon corps et mon esprit. L'odeur nauséabonde de cette pièce me donnais envie de gerber, pour cause un individu semblait mort dans la cellule à côté de la mienne, car je pouvais voir des rats partir avec certains morceaux de chairs dans leurs bouches. Cette vision me fessait repenser aux atrocités que j'avais commis avec Zabuza Momochi durant ma fameuse mission. Le nombre de vie que j'avais éliminé pour garder le pays en paix. Mon sacrifice était-il nécessaire pour le maintient de l'ordre ? J'y avais longuement réfléchis et la réponse était pour moi assez évidente.
A cet instant deux hommes vinrent me chercher pour m'amener ailleurs. Quittant cet endroit sordide, où beaux nombres de criminelles attendaient leurs heures pour être exécutés sur place ou bien envoyés dans la prison de haute sécurité où personne n'avait réussie à s'enfuir. Cette même prison signait la fin de toute personne y entrant. Civils comme ninjas craignaient ce lieu. Ma mort était sans doute inévitable, marchant à travers les couloirs peu éclairés par les ampoules suspendus aux plafonds, j'avançais vers la plate-forme, prenant par la même occasion mon billet pour l'enfer bleu " Phendrana".
Je pouvais apercevoir cette prison connue pour sa réputation d'être inviolable depuis l'extérieur et de sa haute sécurité... Les genoux à terre, les mains liées par une solide corde et sous surveillance de deux gardes, qui observé mon comportement. Le calme et un silence de mort était installé dans l'aéronef que j'avais pris, envoyé par les soins de la hiérarchie de Kiri, mon estime de la politique de mon pays avait totalement été remis en question, ne croyant plus à ce système au-quelle j'avais adhéré et sacrifier ma vie pour le protéger.
Mes yeux saphir restèrent observé depuis le hublot, la terrible découverte que j'allais faire, une immense ville, voilà donc à quoi ressemblait Phendrana depuis l'intérieur. Livré à moi-même, je fus lancé depuis les airs vers le sol dur et humide des rues de ce pénitencier. Les mains libre, je pus constaté quelque-chose d'étrange... Je ne pouvais plus faire usage de mon chakra. Pour cause, je pus remarqué ces bracelets que je portais récemment que je n'avais pas durant mon emprisonnement dans le canyon du supplice. J'essayais de les enlever, mais en vain. Me résignant à ne pas utiliser ma force, je commençais à vagabonder dans les rues sinistres, sombre, malpropre, nauséabonde et écoeurante. Croisant sur ma route de nombreux sans abris, vivant à moitié mort et laissé sur le bas du passage à péril dans la fosse, des eaux pluviales. Continuant ma route, me plongeant de plus en plus dans l'ombre et les ténèbres de cette prison.
Ma couleur de cheveux du moment semblait avoir attiré le regard d'une centaine de personnes depuis mon atterrissage mouvementé depuis les airs... Je pus sentir comme une certaine tensions palpable, mon séjour ici, n'allait pas ce passé comme je le souhaitais....
Un mois avait passé depuis mon entrée dans ce lieu de désolation, de pauvreté, ou la guerre de pouvoir entre les différents quartiers fessaient rage... Évitant tout problème j'essayais de rester à l'écart de toute vie. Pour ne pas à devoir être impliqué dans des histoires louches voir suspectes et mourir inutilement. Hélas, le monde ne marchait pas comme on le souhaitait. Des éléments perturbateur apparaissaient et vous emmerdaient là où il ne fallait pas. Ce fus le cas aujourd'hui. La raison fut la même qu'à l'origine. "Ma couleur de cheveux", Devant me battre toute seule contre une bande de six filles armées de divers objets... Chaussette remplie de pille électrique principalement, j'étais totalement dépassé par le nombre, malgré la force de me battre je ne pus que gravement blesser un de mes agresseurs lors de cette attaque. Cette mise à tabac devenait presque quotidienne, mon corps commençait à sentir sa fin, criant de douleur de mettre un terme à cette sauvagerie dite gratuite, mon visage fut couvert de bleu, d'oeil au beurre noir, d'hématome, de blessure petite et grave. Le corps suivait le même traitement que mon visage, défiguré par les assauts répétés de mes agresseurs féminins.
Pas à un seul moment, les gardes qui devaient gérer la situation, ne firent rien devant cette violence gratuite dans les rues, mieux que ça, ils restèrent regardé la scène comme des obsédés. Pour ma part ils n'étaient que des hommes complexaient par la vie, ne sachant rien faire, étant nul et inintéressant pour la gente féminine. Je perdis donc tout espoir de pouvoir quelques-chose pour stopper cette scène répétitive. Ne trouvant donc qu'un seul et unique moyen de venir à bout de ces salopes... Je pris ce que je pus sous la main et je commençais donc la confection d'armes pouvant me servir pour tuer ces garces de mon existence. Chose dit-chose faite le lendemain, fut un jour sanglante et la fosse des eaux usagé devint rapidement le cimetière du groupe qui m'harcelait. Comment avais-je réussie à prendre leur vie ? Tout simplement avec une barre en fer, ajoutant des morceaux de verres pour permettre une meilleure pénétration pour la barre métallique et de couper des parties vitale, comme le foie par exemple... Cette bataille fut le début de mon avancé vers le Colisée, lieu qui me permit de vivre paisiblement dans l'attende de la mort que j'avais choisie fièrement...
Le Colisée, était d'entourer de bâtiments hauts comme des grades ciels, modernes, on pouvait facilement le voir depuis les bidonvilles et les quartier pauvres. Qui furent les trois quarts de la ville. Suite à cet acte de barbarie de ma part je fus mise en cellule de dégrisement pour calmer mes nerfs. C'est à ce moment que je fis la connaissance d'une personne qui allait changer ma façon de vivre ici.....
|
|
|