-Hanabi-sama, vous avez une mission !Une mission, enfin ! Il était à peu près 9heures du matin et j'avais déjà épuisé toute les activités que je pouvais faire aujourd'hui. J'avais besoin d'une occupation, et une mission était parfaite. En plus, j'avais besoin d'argent de poche. Je me demandais bien en quoi consistait mon travail ! Escorter une personne importante dans un autre village ? Éliminer des voleurs, chassez des déserteurs ? Je trépignais d'impatience ! Moi, l'héritière Hyuuga allait enfin recevoir une autre mission. Ma servante Yoruna m'apporta la missive envoyé par le bureau du Hokage. Mon exitation était telle que je décidais de l'ouvrir moi même.
- Merci Yoruna-san, vous pouvez disposer.Après que ma servante m'ai laissée seule dans ma chambre, je décidais d'ouvrir la missive. J'en tremblais déjà comme une feuille.
- Spoiler:
Ninja Sitter ! Madame Eyzuki demande que son fils soit gardé en journée pour les trois jours qui suivent, car elle part assister à la naissance du rejeton de sa sœur.
Lieu : Centre-Ville Grade minimum : Gennin Gains : 30 Ryos
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- Après tout, je ne suis qu'une genin ...Un long soupir accompagna cette parole. Aujourd'hui, j'allais donc être baby-sitter. Ou plus exactement Ninja-Sitter. Je ne sais pas ce qu'avait voulu l'auteur de cette mission en choisissant ce nom. Sûrement la rendre assez attractif pour des "genins". Dans mon cas, c'était ratée. Mais il ne fallait pas désespérée : Si j'avais apprise une chose de mon voyage à Kumo, c'était qu'il fallait toujours voir le meilleur dans le pire, et garder espoir. Le positif était qu'au moins, j'avais une mission et que je gagnerais un peu d'argent de poche. Enfin bref, je me hâtais de me préparer pour cette mission qui s'annonçait épique, en effet, j'avais rendez vous avec madame Eyzuki au centre ville. Coiffée et habiller convenablement, je laissais un mot à mon père sur la table et je m'en allais dans les longues et grandes rues de Konoha. En réfléchissant, je n'avais jamais fait de baby-sitting dans ma vie. Si mes souvenirs sont exactes, c'était moi qu'on gardait et pas le contraire. Si d'autre pouvait le faire je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas. Sans m'en rendre compte, j'avais atteint l'appartement de miss Eyzuki. Je toquais alors pour me présenter et elle ouvrit la porte.
- Bonjour, je suppose que vous êtes Madame Eyzuki, enchantée. Je suis la ninja que l'Hokage à envoyé pour garder votre fils. Voici mon ordre de mission.-Ah, veuillez entrez. Je vous fait visiter, faite comme chez vous mademoiselle. Je la suivais donc pendant sa présentation de l'appartement, qui étais au passage assez bien décoré. Ensuite, elle m'emmena dans la chambre de son fils.
- Lui c'est mon fils chéri, Domyoji. N'est-il pas mignon ? Je ne lui répondis que part un petit sourire forcé. Les bambins c'étaient pas trop mon genre.
- C'est lui que tu dois gardée. Si tu as un problème n'hésite pas à contacter le bureau du Hokage pendant mon absence, je serais de retour sous les coups de 20heures. - Comprit. Passez une bonne après midi madame. Et elle s'en alla. Je trouvais que son fils était plutôt calme. Je décidais de m'installer sur le canapé du salon et de feuilleté un des nombreux magasines qu'elle avait. Sauf qu'ils étaient pas vraiment intéressant.
"Comment élever un futur ninja?", "100 Astuces pour êtres bonnes mères", etc, c'était pas encore de mon âge. J'allais ensuite vers la chambre du bébé. Il était tout calme, il dormait. Rien que de le voir ça m’apaiser. Ce petit brin de vie ferait un super shinobi pensais-je. Si la mission consistait en cela, ce serait un jeu d'enfant. R.A.S du côté de la chambre, j'allais du côté de la bibliothèque. Vu le type de livre,
Le paradis du batifolage, cela devait être le bureau de son mari. Soudain, un rugissement ce fit entendre. Je cherchais des yeux qui pouvait-être l'auteur de ses bruits horribles.
- Rien dans le bureau, rien dans le salon, rien non plus dans la cuisine ...
Mais lorsque je m’arrêtais devant la chambre, quel fut ma surprise de découvrir que le jolie petit bébé inoffensif d'antan, c'était transformé en un ignoble monstre qui déchirait les oreilles de tout le village. Je m'approchais du lit-cage, pas sur de moi, tremblant un peu. Mes yeux croisèrent les siens, qui semblaient me menacer. Ensuite, tout alla très vite. Le bébé se remit à pleurer, ou plutôt, à rugir. Comment un être aussi chétif pouvait faire autant de dégât sonore. Ce bébé était une antithèse vivante. Je le prit dans mes bras. Peut-être qu'il se calmerait.
- Chut bébé, chut. J'avais souvent vu mes tantes berçaient leurs enfants en les faisant un peu bouger, de droite à gauche, d'haut en bas. Je commençais alors à agiter le petit bébé d'haut en bas. La technique semblait faire effet. Mais ce n'était qu'une illusion, le bébé revient alors plus fort que jamais et cria tellement que je tremblais de tout mon corps. J'eu alors une idée. Je le remis dans son berceau et accouru au salon. Je m'emparais alors de tout les magasines évoquant le thème des bébés. Je feuilletais les pages et je tombais sur un article parfait pour la situation. "Mon bébé ne cesse de pleurer, que dois-je faire?". Alors si j'avais bien compris, sois il avait faim, sois il voulait sa tétine.
- Essayons de le nourrir ! Je suis sur que si j'avais faim j'aurais aussi fait autant de boucan que lui.Appliquant parole à la tâche, je trouvais un biberon et je remplis de lait. J'oubliais pas bien sûr de le chauffer. Je vérifiais la chaleur de celui ci avant de le donner au monstre. C'est alors qu'un miracle ce produisit. Le calme et le silence reprirent place dans la pièce. Le reste des jours se passa sans accident majeur. Il s'endormit. Puis se réveilla pour manger. Et ce ré-endormit jusqu’à ce que sa mère reviennent. Je rentrais alors chez moi, plutôt fier d'avoir bien géré cette situation. C'est peut-être ça, qu'on appelle l'instinct maternel.